Musique ••• Classique ••• Beethoven : Intégrale des Symphonies, vol.1 – Symphonies N° 1, 2 & 4
La femme est-elle un homme comme les autres?
Le café philosophique de Montargis proposera une séance exceptionnelle au Hanger de Châlette-sur-Loing le vendredi 6 mars à 19 heures, dans le cadre d'une représentation des Monologues du Vagin. Cette pièce de théâtre emblématique sera proposée par la Compagnie Je Est Un Autre.
Le café philosophique de Montargis proposera avant cette représentation une séance autour du droit des femmes. Le débat portera sur cette question : "La femme est-elle un homme comme les autres ?"
La question de la place de la femme dans la société et de l'égalité homme-femme sont des sujets toujours brûlant, spécialement depuis les mouvements #MeToo ou Balance Ton Porc. Le café philosophique de Montargis proposera de débattre autour de la question de l’égalité hommes-femmes et du sexe. Comment définir un homme et une femme ? Quels rôles leur attribue-t-on ? Ces rôles sont-ils interchangeables ? Une égalité du genre doit-elle conduire à une indifférenciation des rôles ? Quid du féminisme ?
Ce sont autant de points qui seront discutés et débattus le vendredi 6 mars, à partir de 19 heures au Hanger de Châlette-sur-Loing.
La participation sera libre et gratuite.
Café philo "La femme est-elle un homme comme les autres ?"
Hanger de Châlette-sur-Loing (Loiret)
Vendredi 6 mars, 19 H
http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com
Tenez-vous informés de nos derniers blablas
en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.
Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !
Commentaires
Bonjour.
Rappelons, en quelques lignes, les grandes lois de l’Evolution sexuelle.
C’est dans l’action du système nerveux que résident les différences qui séparent physiologiquement l’homme de la Femme.
On sait que le système nerveux encéphalo-rachidien est constitué par des nerfs sensitifs et des nerfs moteurs. Leur dénomination même indique les fonctions auxquelles ils président. On peut les considérer comme représentant les deux principes qui luttent dans les êtres vivants, le premier pour produire la vie puisqu’il est le facteur de la synthèse organique ; le second pour produire la mort car il est le facteur de la destruction organique.
Ces deux principes existent dans des rapports de proportion différents dans les espèces zoologiques. La sensibilité (principe de synthèse) est d’autant plus développée que l’être organisé est plus élevé dans la série animale. La motricité (principe de destruction) existe dans une proportion inverse ; plus intense chez les êtres inférieurs, elle diminue chez les êtres supérieurs. Elle est moins développée chez l’homme que chez les autres mammifères, moins que chez les oiseaux, les reptiles et les articulés.
Mais si nous considérons ces deux ordres de facultés dans les individus d’un même genre, nous constatons que ce sont leurs différences d’intensité qui déterminent le sexe, ou, si l’on veut, qui sont déterminées par le sexe, qui est, tout à la fois, cause et effet.
Si au point de départ de la vie, il y a une neutralité sexuelle relative, cette neutralité disparaît peu à peu ; les individus sexués, partis d’un même point, s’en sont allés dans des directions différentes et, dans tout le cours de leur existence phylogénique, ils ont continué leur évolution dans des voies qui les ont éloignés de plus en plus du point de départ commun. Cette divergence est le résultat du développement inverse des facultés nerveuses. Chez les individus du sexe mâle, la motricité s’est développée avec plus d’intensité que la sensibilité. Chez les individus du sexe femelle, la sensibilité s’est développée avec plus d’intensité que la motricité.
Mais c’est surtout à l’âge de la puberté, c’est-à-dire à l’époque où commencent les fonctions sexuelles, que les grandes différences physiologiques se dessinent entre les individus diversement sexués.
Cette progression vient de ce que ces fonctions sont une désassimilation, laquelle épuise, ou plutôt diminue l’élément évacué, qui, dès lors, manifeste ses effets avec moins d’intensité dans l’individu.
C’est par l’intermédiaire du système nerveux « grand sympathique » que cette action s’exerce.
Pour expliquer la cause et les conséquences des différences sexuelles, il faut donc faire l’histoire de ce système nerveux.
Cordialement
Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/psychologie-et-loi-des-sexes.html