En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Bla Bla Blog a choisi de faire un focus sur une pièce de théâtre proposée par la Compagnie 22h22.
La Confiture de Coings c’est une rencontre entre deux personnages que l’on ne pourra qu’aimer. Elle s’appelle Romane. Il s’appelle Jules. Ils proposent dans La Confiture de Coings le partage de moments privilégiés de leur histoire et des souvenirs à travers des moments de vie.
Au centre de cette pièce, c’est l’amour de sous toutes ses formes qui est célébrée : ses émois, ses passions, ses coups de folies, ses désillusions, ses peines, ses routines et ses espoirs.
C’est à découvrir à La Folie Théâtre jusqu’au 30 novembre, les vendredis et samedis.
Le Café philosophique de Montargis ouvre sa nouvelle et quinzième saison à la Médiathèque de Montargis le vendredi 27 septembre à 19 heures. Le sujet portera sur cette question : "Y a-t-il des colères saines ?"
La colère saine. Voilà un concept devenu proverbial. Alors que pendant des siècles, en Occident, la colère était un péché capital, elle sembla avoir, avec le temps – et sans doute grâce aux Révolutions des XVIIIe et XIXe siècles – être revenue en odeur de sainteté…
Mais qu’est-ce qu’au juste la colère ? Un mouvement instinctif ? Une émotion, une passion ou, pourquoi pas, une pathologie ? La colère est-elle la manifestation d’un intérêt égoïste ou peut-elle aussi être un élan altruiste ? La colère est-elle toujours contre-productive ? On a parlé du péché de la colère, mais peut-elle aussi être une vertu ? Peut-on pardonner nos colères et celles des autres ? La colère peut-elle être un remède ? Si l’on parle de "saines colères", de quoi est-il question ?
Ce seront autant de points qui pourront être débattus lors de cette séance. Rendez-vous donc à l’Atrium de la Médiathèque de Montargis le 27 septembre 2024 à 19 heures.
Et si l’on prolongeait l’été ? C’est ce que propose le groupe Offline avec son nouveau single Les amis.
C’est au bord de la Méditerranée, en plein été, que The Offline a posé ses valises pour un clip aussi séduisant et enivrant que leur formidable single. Il s’agit du deuxième chapitre, ouvert par leur premier single Fumée, qui annonce leur futur EP, Les Cigales.
L’auditeur se laissera charmer par le l’ambiance sonore et visuel d’un titre très influencé par les BO des années 60 et 70, à l’instar de quelques pépites du génial et regretté François de Roubaix.
La mer, les baignades lascives, les paysages paumés écrasés par le soleil et deux amis qui se trouvent. Felix Müller, à l'œuvre dans ce très joli single, explique : “Les Amis raconte la relation entre deux amis qui passent l'été sur la Méditerranée. Le thème musical, joué par une guitare, évoque l'intimité et la proximité des deux amis, qui se développent au cours du morceau et se transforment en tension et en pressentiment incertain vers la fin avec l'utilisation d'instruments à vent”.
Voilà une jolie découverte, bienvenue qui plus est alors alors que l’été touche à sa fin.
Les Cramés de la Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film La Belle affaire. Il sera visible du 18 au 24 septembre 2024. Soirée débat à l’Alticiné le mardi 24 septembre 2024 à 20h30.
1990, en pleine réunification complexe des deux Allemagne, les ouvriers d’un même quartier d’ex-RDA se retrouvent sans emploi. Ils découvrent un jour l’emplacement de milliers de billets est-allemands voués à être détruits. Ils ont trois jours pour s’en emparer et convertir l’argent en Deutsche Mark, en montant l’affaire qui changera leur vie.
Qui a dit que le rock était mort, enterré par le rap, l’électro et la pop ? Le groupe Blue Deal entend bien montrer le contraire avec un album au titre éloquent à la James Bond,Can’t Kill Me Twice.
Dès le premier extrait, "Short Time Runner", nous voilà en terre bien connue, le groupe allemand, dont il s’agit du deuxième opus, nous invitant à une plongée dans l’essence même du rock – batterie, guitares, sans oublier la voix rocailleuse de Joe Fischer.
Le rock des quatre garçons dans le vent laisse largement la place au blues, savamment dosé dans le morceau "Hard Times", lorsqu’il n’est pas revendiqué, à l’instar du single "Got 2 Go". On retrouve dans ce morceau l’essence musicale du grand sud américain : les paysages désertiques et fascinants, la vie harassante, l’appel du grand large et un parfum de désillusion ("I need to make good money / I hope the eagles won’t fly too high").
Le groupe européen venu de la Forêt Noire connaît ses classiques et entend bien non seulement revisiter le rock mais prouver que ce genre reste vivant et même promis à un grand avenir. Tout cela sonne vrai, avec ce qu’il faut de rugosité, y compris dans la jolie déclaration d’amour "Favorite Mistake".
Le blues devient caresse et le rock promesse
"Can’t Kill Me Twice", qui donne son titre à l’album, séduit particulièrement par son rythme langoureux. Le blues devient caresse et le rock promesse.
Avec "Bluecata", nous voilà dans un court titre pop-rock instrumental. Cette interlude musicale ouvre la seconde partie de l’album avec "1942" au blues assumé, avec cette touche seventies et ces riffs de guitares psychédéliques au service d’un morceau de plus de cinq minutes. L’ambition artistique du groupe Blue Deal est là, évidente et servie par une production impeccable.
"Gilded Age" prend le contre-pied de "1942" avec un morceau très blues-rock à la ZZ Top, et plus dense (moins de trois minutes). L’auditeur se laissera également porter par la jolie balade "Seen To Be Believed", sans doute l’un des plus séduisants morceaux de l’opus.
Can’t Kill Me Twice s’écoute comme une vraie déclaration d’amour pour un genre essentiel de la musique d’aujourd’hui. L’essence pure du rock est intacte dans l’énergique "Stand By" alors que le bien nommé "Over" vient clore avec élégance – et une facture là aussi seventies – un album prouvant, s’il en est besoin, que l’Europe est encore l’un des meilleurs ambassadeurs de la musique pop-rock... américaine.
Cet essai concis et bien documenté retrace plus d'un siècle et demi de terrorisme.
Des poseurs de bombe anarchiques aux opérations spectaculaires d'Al Qaïda, en passant par les attentats des Années de Plomb en Italie ou les mouvements séparatistes basques ou corses, c'est le monde hétéroclite du terrorisme qui est analysé. L'auteur dissèque les motivations, les discours, la "philosophie" comme les moyens utilisés pour y mettre fin.
De nombreux documents (illustrations, extraits de textes de propagande ou analyses de spécialistes), complètent l'histoire de cette autre manière de mener une guerre, qu'elle soit politique, utopique, libératrice ou religieuse.