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• • Articles et blablas

  • Premier nettoyage à sec

    Parlons de cette Femme de ménage qui a fait le bonheur de millions de lecteurs depuis 2023 et développée depuis dans deux autres volumes (Les secrets de la femme de ménage, La femme de ménage voit tout et La femme de ménage se marie). L’Américaine Freida McFadden est entrée avec fracas dans le monde du thriller, au point que chaque nouveau livre est attendu par une armada de lectrices et lecteurs conquis à l'avance. On peut le comprendre à la lecture du premier opus de sa saga, La femme de ménage.

    Cette fameuse femme de ménage c’est Millie, tout juste sortie de prison après dix années d’incarcération, sous probation et n’ayant pour toit que celui de sa vieille voiture où elle dort. Elle a un besoin vital de travailler sous peine de se retrouver à l'ombre. Or, elle déniche un petit job inespéré dans une luxueuse demeure new-yorkaise.

    Chez les Winchester, il y a l’employeuse, Nina, qui l’a recrutée. La maîtresse de maison, qui fut autrefois une très jolie femme, se montre rapidement autoritaire et soupe au lait. Elle couve sa fille unique, Cecila, une insupportable gamine. Seul Andrew, le mari poli et attentionné trouve grâce aux yeux de Millie. L’ex-taularde doit se faire à ce nouvel emploi, sous l'autorité de Nina, tour à tour charmante, autoritaire et lui cachant des informations capitales sur sa maison, par exemple sur les allergies de sa fille. La femme de ménage commence à avoir de sérieux doutes sur les Winchester lorsqu’elle croise Enzo, le jardinier italien l'invitant à se méfier et lorsqu’elle s’aperçoit que la chambre de bonne qu’elle occupe au grenier ne peut se fermer à clé que de l’extérieur. 

    Roman malin et palpitant

    Bien malin qui pourrait deviner la résolution d’une intrigue qui sait jouer avec les nerfs des lecteurs. Freida McFadden a construit son roman en deux grandes parties qui ont tout leur sens. L’auteure américaine réserve pour la fin le passé judiciaire de Millie, à la fois victime, coupable… et bourreau.

    C’est l’Amérique conservatrice, riche et arrogante qui est la première visée dans ce roman malin et palpitant. Moins personnalités fouillées qu’archétypes, les personnages évoluent au milieu de scènes sociales grinçantes, sinon grotesques – les amies de Nina, mères de familles comme elle trouvant leur plaisir dans les ragots, Andrew en homme d’affaire sûr de lui, sans oublier Cecilia, la fillette capricieuse qui va devenir une véritable plaie pour la femme de ménage.

    Tout ce beau monde va finir par clasher de la plus belle des manière. Enfin, "belle", façon de parler.

    Freida McFadden, La Femme De Ménage, éd. City éditions, éd. J'ai Lu, 2023, 416 p.
    https://www.jailu.com/la-femme-de-menage/9782290391174
    https://www.freidamcfadden.com

    Voir aussi : "La vengeance aux deux visages"

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  • Astérix collable

    Personnage fictif incontournable de la culture française, Astérix a les honneurs de La Poste en ce début mars avec l’édition d’un un carnet de 12 timbres-poste. La Poste met à l’honneur les personnages les plus emblématiques du célèbre village gaulois, accompagnés de leurs bulles et des fameuses onomatopées.

    Petit et rusé, le célèbre Gaulois déploie des trésors d’énergie face aux Romains qui occupent la Gaule (ils sont fous ces Romains !). Avec Obélix, ils forment un duo comique qui fonctionne à merveille depuis 65 ans déjà…

    De très nombreux lecteurs s’identifient à ces Gaulois moustachus, joyeux, râleurs et bagarreurs créés en 1959 par René Goscinny et Albert Uderzo. 40 aventures ont été ainsi été publiées, et Astérix tient toujours tête à César tandis qu’Obélix et son fidèle Idéfix sont toujours prêts à se distraire en envoyant dans les airs des légions entières de soldats romains. On croise aussi dans ces albums un chef de village ombrageux, une charmante Falbala, du poisson rarement frais, un forgeron peu sensible à la musique du barde… Cette riche galerie de personnages, c’est tout un monde qui appartient à notre patrimoine commun !
    Voilà qui justifie la pertinence de l’édition de ce carnet de timbres.

    Timbre Astérix
    Création graphique : Étienne Théry - ASTÉRIX ® OBÉLIX ® IDÉFIX ®
    © 2025 Les Éditions Albert René / Goscinny-Uderzo

    Impression : Héliogravure Format du timbre : 24 x 38 mm
    Présentation : 12 timbres-poste autocollants  Tirage : 2 919 000 exemplaires
    Valeur faciale : 1,39 € Lettre Verte
    Conception graphique timbre à date : Étienne Théry
    https://www.laposte.fr/boutique
    https://www.lecarredencre.fr

    Voir aussi : "Miniature hommage à Agnès Varda"
    "Astérix et compagnie"

    © La Poste, conception graphique Etienne Théry -ASTÉRIX ® OBÉLIX ® IDÉFIX ®
    © 2025 Les Éditions Albert René / Goscinny-Uderzo

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  • La liberté des unes s'arrête-t-elle là où commence le regard des autres ?

    Le Café philosophique de Montargis proposera une séance exceptionnelle au Hangar de Châlette/Loing le dimanche 9 mars à 15 heures. Ce sera une séance exceptionnelle à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Le sujet du débat aura pour question : "La liberté des unes s'arrête-t-elle là où commence le regard des autres ?"

    En quoi et pourquoi les regards portés sur les femmes peuvent-ils être méprisants, critiques, voire violents ? Les choses ont-elles changé depuis la Révolution #Metoo ? Que reste-t-il encore à faire ? Qu’est-ce que la philosophie peut-elle dire sur le regard ? Le "female gaze" pourra être débattu, tout comme l’apport des intellectuel⸱le⸱s sur le droit des femmes et sur l’évolution du regard que les hommes portent sur les femmes depuis 2017.

    La participation sera libre et gratuite.  

    "La liberté des unes s'arrête-t-elle là où commence le regard des autres ?"
    Séance au Hangar de Châlette/Loing
    Dimanche 9 mars 2025, 15H
    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com
    https://www.facebook.com/lehangar45

    Photo : Pexels - Amar Preciado

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  • Les Damnés

    Les Cramés de la Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film Les Damnés. Il sera visible du 5 au 11 mars 2025. Soirée débat à l’Alticiné le mardi 11 mars à 20H30.

    Hiver 1862, pendant la guerre de Sécession, l’armée des Etats-Unis envoie à l’Ouest une compagnie de volontaires pour effectuer une patrouille dans des régions inexplorées. Alors que leur mission change de cap, ils questionnent le sens de leur engagement.

    Les Damnés, drame italien de Roberto Minervini
    avec René W. Solomon, Jeremiah Knupp, Cuyler Ballenger, 2025, 99 mn

    Titre original : The Damned
    https://www.cramesdelabo, ne.org/spip.php?rubrique1525
    https://filmsdulosange.com/film/les-damnes

    Voir aussi : "La Chute du Ciel"

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  • La Chute du Ciel

    Les Cramés de la Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film La Chute du Ciel. Il sera visible du 5 au 11 mars 2025. Soirée débat à l’Alticiné le lundi 10 mars à 20H30.

    Les Yanomami, tribu indigène de l’Amazonie brésilienne, mènent une lutte acharnée pour préserver leur territoire et leur mode de vie ancestral face à la menace du "peuple de la marchandise". À travers le discours puissant de Davi Kopenawa, chaman et porte-parole de sa communauté, le film offre une immersion profonde dans leur cosmologie et se fait l’écho d’un appel urgent à la sauvegarde de la forêt et à la redéfinition de notre rapport à la nature.

    Grand prix du jury, Festival de documentaire de New York

    La Chute du Ciel, documentaire brésilien
    d’Eryk Rocha, Gabriela Carneiro da Cunha, 2025, 110 mn

    Titre original  : A queda do céu
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1524
    https://www.25eheure.com/la-chute-du-ciel

    Voir aussi : "La Mer au loin"

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  • La vie made in Galiana

    C’est sur une facture rock que début le dernier album de Paul Galiana, le bien nommé De la vie donnant son titre à l’opus, véritable cri contre les religions et hymne pour le vrai, "sans encens".

    La fraîcheur est évidente dans cet album pop-rock sur instruments acoustiques mais il y a aussi de la nostalgie (Ledru-Rollin, Le Signal, souvenir d’un lieu de son enfance, ou encore la ballade Entre le fleuve et la rivière), voire du spleen (le country-folk En ligne), rendant l'album De la vie immédiatement attachant. Pour autant, pas question de apitoyer sur son sort. En forme de bilan, ce nouvel opus de Paul Galina se veut celui d’une bande d’amis partis se frotter au monde, à l’instar de son duo avec Clément Verzi, Nous défendrons l’automne.

    L’un des meilleurs morceaux de l’album, Ta place, un des plus personnels titres, que le musicien consacre à son père, non sans amertume : "Tu n'es pas entré dans ce couplet / Tu n'as pas trouvé ta place / Et sans merci, sans s'il vous plaît / Tu as regagné cette ride dans ma glace". Pour autant, Paul Galiana n’a pas choisi d’en faire un morceau triste, comme il le dit lui-même : "Il était important pour moi que la fin du morceau soit presque festive, avec une belle bande de collègues et ami(e)s venu(e)s poser de joyeux “La la la”".

    Fin observateur

    La chanson française se marie avec le blues dans Genghini blues. L’étrange titre fait référence, les fans du ballon rond le savent sans doute, à Bernard Genghini, joueur et entraîneur de football, "fier et discret" et qui évoque des souvenirs d’enfance, de sport, de pelouses, de compétitions le dimanche et finalement de petits bonheurs ineffaçables. Un joli hommage pour l’ancien jour de Sochaux et le quatrième joueur de l’emblématique "carré magique".

    C’est un autre hommage que propose Paul Galina avec La fille du train pour Tallinn. Cette fois c’est l’Europe de l’Est qui est au cœur de cette chanson parlant d’exil, d’amitié et de guerre. L’auditeur aura évidemment en tête la guerre en Ukraine ("Tu t'es enfuie d’une ville à vif / De plaies de cratères de bombes de mines / - Va plutôt voir et raconter ce qui se vit à Kyiv").

    Dans Punchline, le chanteur laisse parler son agacement et à la vanité de la communication à sens unique : "C'est ta punchline, c'est un mic-drop / Tu ne parles pas pour qu'on te réponde / C'est ta punchline pour me dire stop / Pourquoi m'écouter ? Autant rester dans ce monde / Des punchline". Il est comme ça, Paul Galiana. Il suit sa route, tranquillement, avec bienveillance. Il le chante très bien dans le délicat et irrésistible Le goût de l'horchata ("Je suis celui qui naît, qui vit, qui tangue / Entre les hauts, les bas / Je suis celui qui garde au coin de la langue / Le goût de l'horchata").

    Paul Galiana est un fin observateur de ses contemporains, à l’image de l’incroyable Jeanne Pardon, portrait touchant et cruel d’une femme "innocente et de bon fond". Dans La main qui tremble, le musicien laisse parler sa sagesse et revendique son droit au doute et à ses interrogations ("Comment faites vous, sans faiblir / Sans bleus à l'âme et sans blessure / Sans boule au ventre, sans faillir / Et le geste sûr").

    Autre lieu, autre titre. Dans Sans Paris, c’est Bruxelles que chante Paul Galiana, sur les traces de Brel. Ce dernier titre folk se veut une jolie déclaration d’amour : "Mais je suis bien ici / Sans Paris / Infidèle / Elle me pardonnera / Quelques jours avec toi / Bruxelles". 
    Attachant Paul Galiana.   

    Paul Galiana, De la vie, 2024
    https://www.paulgaliana.com
    https://www.facebook.com/paulgalianamusique
    https://www.instagram.com/paulgalianamusique

    Voir aussi : "Électroband"

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  • Bounty et le goût du paradis

    Dans la bibliographie de Jules Verne, Les Révoltés de la Bounty fait partie des œuvres rares. Il est vrai que cette histoire, tirée d’un fait divers datant de 1787, est une nouvelle de moins de 20 pages. Elle mérite pourtant d’être redécouverte, autant parce que la mutinerie de la Bounty est devenue légendaire – on lui doit d’ailleurs un film à grand succès en 1984, avec Mel Gibson et Anthony Hopkins dans les rôles titres – que parce que ce récit appartient à la légende de l’écrivain français.

    Aventure, île sauvage, héroïsme : voilà qui ne pouvait qu’intriguer Jules Verne. Il propose ici de coller au plus près de l’histoire, en se concentrant surtout sur le capitaine Bligh, victime de la mutinerie du Capitaine Fletcher, avant de suivre la vie des mutins et naufragés, dans une nouvelle au style moderne, presque journalistique. 

    Deux nouvelles écrites des deux côtés de la Manche

    Rien à voir avec Une Île de Lord Byron, écrit en 1832, soit près de cinq ans avant l’auteur du Tour du monde en 80 jours. Nous sommes en plein romantisme et l’idée de liberté et du "bon sauvage" prend tout son sens. Lord Byron propose une nouvelle en forme de chants poétiques. Le récit autour de Fletcher et Bligh fait bientôt place à un couple héroïque, la Tahitienne Neuha et le marin anglais naufragé Torquil.

    La langue est précieuse, parfois maniéré, mais le récit devient, à partir du Chant III un authentique récit d’aventure et d’action, avec par dessus le marché une histoire d’amour.

    Voilà deux nouvelles écrites des deux côtés de la Manche se complétant complètement dans cette édition de Librio et donnant envie de voir ou revoir le film de Roger Donaldson.    

    Jules Verne, Les Révoltés de la Bounty, suivi d'Une île de Lord Byron,
    éd. Flammarion, coll. Librio, 2013, 80 p.

    https://editions.flammarion.com/les-revoltes-de-la-bounty/9782290058480

    Voir aussi : "Pauvre homme"
    "Un classique des classiques"

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  • Liszt amoureux

    Si Beethoven a été le père fondateur du Romantisme et Schubert le jeune disciple surdoué, Liszt en a été le maître virtuose tout autant que le gardien du temple. 

    Titien Collard s’est lancé pour son premier album solo dans un programme exigeant, ambitieux mais aussi passionnant autour du compositeur hongrois. C'est le troisième mouvement des Harmonies poétiques et religieuses qui ouvre l’opus. Le romantisme européen n’a jamais aussi bien porté son nom que pour ces pièces composées en Ukraine au milieu du XIXe siècle et inspirées de poèmes de Lamartine. À l’époque, Franz Liszt file le parfait amour avec  la princesse Carolyne de Sayn-Wittgenstein qui fut sa compagne de 1847 à 1861.

    Titien Collard a choisi de jouer la deuxième pièce, Bénédiction de Dieu dans la solitude. Il s’en empare avec maîtrise et ce souffle romantique oscillant entre retenue, exaltation et religiosité. Liszt s’est inspiré de ces vers de Lamartine : "D’où me vient, ô mon Dieu, cette paix qui m’inonde ? / D’où me vient cette foi dont mon cœur surabonde ? / À moi qui tout à l’heure, incertain, agité, / Et sur les flots du doute à tout vent ballotté, / Cherchais le bien, le vrai, dans les rêves des sages, / Et la paix dans des cœurs retentissant d’orages ?", Solitude). On peut saluer l’audace de Titien Collard d’avoir choisi un programme romantique des plus exigeant et de s’en proposer une interprétation fluide, lumineuse et non sans puissance (Allegro energico).

    Pianiste expressivo, virtuoso e colorato

    L’enregistrement inclut la Sonate pour piano en si mineur S. 178. D’une très grande complexité – nous pourrions même employer le terme de "modernité" – cette sonate bouleverse les règles. Si Titien Collard la présente sous la forme classique de trois mouvements (Lento assai - Allegro energico, Andante sostenuto et Allegro energico), en réalité Liszt l’a imaginée d'un seul tenant. Cette pièce fait figure d’œuvre majeure dans la carrière du musicien hongrois comme dans le répertoire romantique. Tour à tour austère, exacerbée, sombre et méditative, la Sonate en si mineur s’écoute comme une construction architectonique et musicale ambitieuse à laquelle Titien Collard se frotte avec aplomb et justesse. "Œuvre gigantesque d’une seule cellule", selon les mots de Richard Strauss, cette pièce importante illustrant une période heureuse dans la vie amoureuse de Liszt invite à la méditation et au voyage intérieur (la partie Andante sostenuto).  

    Pour terminer cet album Liszt, Titien Collard a fait le choix de proposer les Consolations S. 172, également appelées Six pensées poétiques. Le court, gracieux et "tube" qu’est l’Andante con moto introduit les six pièces tout aussi romantiques (Un poco più mosso). L’auditeur retrouvera avec plaisir cet autre grand classique qu’est le mélodique et méditatif Lento, quasi recitativo que Titien Collard interprète avec une retenue bienvenue. La noirceur n’est pas absente dans ces Consolations que certains disent inspirés, de nouveau, d’un poème éponyme de Lamartine (Quasi Adagio). L’auditeur se laissera autant séduire par le délicat et subtile Andantino que par la simplicité de l’Allegretto sempre cantabile qui vient clore l’album d’un compositeur majeur du répertoire romantique. le tout interprété par un jeune pianiste expressivo, virtuoso e colorato

    Titien Collard (piano), Franz Liszt, Indésens Calliope, 2024
    https://indesenscalliope.com 
    https://www.facebook.com/people/Titien-Collard-Pianiste/100083719893138/

    Voir aussi : "Bowie, Paganini, Scarlatti et compagnie"

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