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• • Les partenariats Bla Bla Blog - Page 24

  • Frigo espagnol

    Cette semaine, L’‎Œil du Frigo voyage et se rend de l'autre côté de la Méditerranée pour s'intéresser au film de Cédric Klapish, L'Auberge espagnole.   

    Nous sommes enfin dans l'international, dans le "frigo espagnol" dans cette folie qu'ont eut les hommes de se dire " Tiens et si on se mélangeait un peu." Quelle bonne idée, et voilà une brochette d'acteurs partie faire l'auberge espagnole ! On peut disserter longtemps sur ce concept mais il est vrai que le seul moyen de résumer la situation c'est de montrer ce frigo.

    Quelle bonne idée de la part du réalisateur, une image vaut mieux qu'un long discours et tout est dit. On voit alors un frigo à plusieurs étages, achalandé avec les origines de chaque pays et les régimes de chacun. Evidemment on y trouve aussi une paire de lunettes... Je ne vous ai pas déjà dit qu'on trouvait de tout dans un frigo ?

    Alors je me pose quand même des questions. A qui appartiennent les œufs dans la porte du frigo ? Et voilà, j'ai mis le bazar (une seule question et tout s'effondre) ! Et oui parce que, là, il n'y a pas d'étiquette... Ou alors nous avons affaire à un rebelle frigoristique !

    Pour ma part, et en grand spécialiste du frigo, cela ne remet pas du tout en cause cet excellent film. J'aurais opté pour un frigo sans frontière ou tout est à partager dans l'espace frigorifique. Comment peut on faire progresser l'humanité si l'on fixe des frontières dans un frigo ? Aberrant, le concept de l'auberge espagnole n'est-il pas justement ce partage ? Il ne faudrait pas grand chose pour imaginer un espace gestationnel des victuailles de diverses nationalités aboutissant à la naissance d'un mélange des mets dans des recettes nouvelles et gustatives.

    Pas difficile en somme : il faudrait juste un rebelle du frigo qui durant la nuit enlèverait les étiquettes des prénoms et mélangerait le tout. Bref faire une grosse omelette de frigo. C'est peut être l'idée de celui qui a mis les œufs sur la porte, il est sans doute en embuscade d'un état libre du frigo.

    Un bon film à voir avec ses petites histoires de cœurs, et de frigo...

    ODF

    L'Auberge espagnole, comédie dramatique de Cédric Klapisch,
    avec Romain Duris, Cécile de France, Judith Godrèche et Audrey Tautou,
    France, 2002, 122 mn

    Voir aussi :
    "L’‎Œil du Frigo débarque sur Bla Bla Blog"
    "Auberge espagnol frigo"

     

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  • Anna Uchiyama, notre muse

    Muse, modèle, égérie, inspiratrice, confidente, Anna Uchiyama est une japonaise contemporaine qui propose un autre regard sur la féminité, loin des stéréotypes de la "femme objet."

    Anna Uchiyama offre à l'objectif une conversation au temps présent. Elle est une présence unique et intemporelle. Elle incarne la femme multiple et a inspiré l'ensemble des artistes nourrissant cette nouvelle exposition, visible jusqu’au 1er décembre à la Galerie Rachel Hardouin (Paris 10e).

    Femme enfant, femme nostalgique, femme fatale, femme introvertie, femme en pleine possession de son corps. Femme incarnée, dans tous les sens du terme, Anna stimule la vision créative. Une authentique muse.

    Cette exposition est une performance en soi : elle regroupe 25 artistes d'origine allemande, française, japonaise, norvégienne ou vietnamienne. Chacun y exprime son écriture, offrant à partager son univers.

    L'exposition Anna Uchiyama interroge sur notre héritage et nos liens à l'histoire de l'art érotique. Elle confronte la vision créative des artistes occidentaux et celle des artistes asiatiques.

    Le traitement noir et blanc entre en conversation avec l'art de l'estampe. Le désir explicite se mêle
    à la pudeur des sentiments.

    Cette exposition est soutenue par Bla Bla Blog.

    Anna Uchiyama
    Du 6 novembre au 1er décembre 2018
    Galerie Rachel Hardouin
    15, rue Martel, Bat.1 #4
    75010 Paris
    http://www.15martel.com

    Voir aussi : "Quand on arrive en ville"

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  • Indie King Cool

    Lorsque la rubrique de L’‎Œil du Frigo a commencé, un des premiers commentaires entendus a été : "Et le frigo dans Indiana Jones 4, alors ?"  Pertinente réflexion : notre chroniqueur de L’‎Œil du Frigo revient sur cette scène devenue culte.   

    Indiana Jones 4, ou plutôt Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, un film de Steven Spielberg, pas si vieux que ça - 2008 - qui nous compte les aventures d'un gentil héros aux cascades rocambolesques.

    Et là, on est servi : au moment d'une explosion nucléaire, notre héros se cherche un refuge. Nous autres, pauvres mortels, nous aurions déjà versé tous les fluides de notre corps à même le sol, et nous aurions péri comme ces pantins de cire que nous voyons fondre à l'image. Mais Indy (pour les intimes), lui, c'est l'espoir de l'humanité, celui qui a toujours une troisième voie, une dernière tentative, un dernier sursaut,une dernière alternative, une belle leçon de vie.

    Lorsqu'il se dirige vers le frigo, on pense tous qu'il a trouvé un passage secret, ou alors qu'il va se faire un dernier foie gras en attendant que le champignon soit grillé. Que nenni ! Indy ne regarde même pas ce qu'il y dans le frigo. D'ailleurs on peut se poser la question de savoir à quoi cela peut servir de remplir un frigo de victuailles en plastiques pour des mannequins en cire...

    Bref, ce qui compte surtout c'est le frigo et les petites indications de Spielberg : quel farceur ! Sur la porte, il est indiqué à la place de la marque : "King cool." J'ai cherché : aucune trace de réfrigérateur de la marque King Cool. Le message est clair : en cas d'explosion nucléaire, sois le "roi du frais" devant ton frigo. En deux mots : "Garde ton sang froid". Et, il y a mieux : une fois à l'intérieur, Spielberg fait un gros plan sur les indications techniques de l'engin :"Lead lined for superior insulation." Alors là, on est scotché : "Doublé de plomb pour une isolation supérieure," comme si les américains fabriquaient en série des frigos en plomb (super léger) en vue d'un explosion nucléaire.

    Alors, amis lecteurs dingues de frigos, je vous le dis : ne cherchez plus à fabriquer un abri antinucléaire dans votre jardin ou votre cave ; achetez un frigo "King cool" , un par habitant dans la maison et enfermez vous dedans jusqu'à l'explosion fatidique. Évidemment, si vous êtes éjecté dans le désert, faites en sorte de ne pas retomber : porte face au sol, vous auriez beaucoup de mal pour sortir, et si vous croisez un rongeur qui va se cacher dans son terrier, dites-vous que vous êtes sur la bonne voie de l'optimisme. Croyez en vos rêves, vos délires et ne vous fiez pas à la nourriture en plastique. Spielberg vous le dit : tout est possible, dépassez-vous. Il suffit d'avoir le bon frigo à portée de main.

    ODF

    Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, film d'aventure de Steven Spielberg, avec Harrison Ford, Shia LaBeouf, Karen Allen, Cate Blanchett et John Hurt
    USA, 2008, 123 mn

    Voir aussi :
    "L’‎Œil du Frigo débarque sur Bla Bla Blog"
    http://www.loeildufrigo.fr/2016/12/indiana-jones-4.html 

     

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  • Rien de tel qu'un frigo vide...

    Après Seven la semaine dernière, c'est Little Miss Sunshine de Jonathan Dayton et Valerie Faris (2006) qui est au centre de l'attention de L’‎Œil du Frigo. Cette critique nous explique pourquoi un frigo vide n'est pas sans intérêt.   

    Alors oui, c'est une mini-scène de frigo et ça se passe dans Little Miss Sunshine. Une dispute familiale autour du départ pour emmener la petite à un concours de beauté. On est vendredi soir et le frigo est vide ; donc, forcément, on le montre peu. Mais s'il est vide, c'est parce que le départ est proche. Donc l'assistant réalisateur n'a pas cru bon de mettre des vivres dans le frigo puisque toute la famille allait partir dans un road-movie décapant. La mère ouvre et place la bouteille d'eau dans le frigo avec une aisance hors pair. D'ailleurs, on peut noter qu'elle ne met pas cette bouteille dans la porte du frigo, mais dans le corps du frigo avec d'autre bouteilles apparemment. À noter que le frigo est le lieu d'exposition de dessins en tous genres et de papiers ultra importants. Je verrais parfaitement bien une galerie parisienne exposer ces portes de frigo avec ces dessins d'art contemporain... Mais que fait la Fiac ?

    Lorsqu’elle ouvre le congélateur c'est pire, il ne reste rien comme dessert. Une malheureuse boite de glace posée avec violence devant les deux personnages silencieux qui ne mouftent pas pendant la dispute familiale (souvent pendant les disputes familiales mieux vaut ne pas moufter...)

    Alors je vous le dis , si vous voyez que votre frigo et votre congélateur sont vides vous risquez une dispute, voire pire : un road movie avec plein de belles choses humaines dedans. Car le film est absolument merveilleux malgré ce carcan familial ou à cause de ce carcan familial parti visiter le monde alors que le frigo est vide. Je vois déjà des petits malins qui se disent : "Tiens une bonne idée de ne pas remplir le frigo, histoire de créer une dispute, faire bouger les lignes et finalement partir à l'aventure !"

    Tentez l'expérience : la liberté au bout du frigo, ça vaut le coup. Regardez le film jusqu'au bout pour savourer cette liberté d'être en dehors des sentiers battus, comme cette famille aussi perchée que leur frigo est vide. Ils auraient pu juste se disputer, finir leur repas et ne rien faire ; mais non : ils se sont extraits de leur réalité pour la gamine et n'ont pas fait les courses comme la logique l'aurait voulu. Un frigo vide et, hop, sur la route ! Jack Kerouac aurait apprécié.

    ODF

    Little Miss Sunshine, comédie dramatique de Jonathan Dayton et Valerie Faris
    avec Greg Kinnear, Toni Collette, Steve Carell, Paul Dano, Abigail Breslin et Alan Arkin
    USA, 2006, 101 mn

    Voir aussi :
    "L’‎Œil du Frigo débarque sur Bla Bla Blog"
    http://www.loeildufrigo.fr/2018/01/little-miss-sunshine-frigo.html

     

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  • Le salon le plus sexy du monde s’apprête à débarquer à Paris

    Le samedi 24 novembre 2018, la fine fleur de la littérature érotique se donne rendez-vous à La Bellevilloise pour mettre à l’honneur un genre souvent gentiment moqué, lorsqu’il n’est pas considéré avec mépris. Et pourtant, la littérature érotique a sans doute beaucoup à nous dire, notamment sur la société, sur les rapports hommes-femmes et bien entendu sur la sexualité.

    Débats, ateliers d’écriture, animations, jeux (dont Le Confessionnal, à, ne pas rater), lectures publiques et bien entendu rencontres avec des auteurs ponctueront la journée de cet événement que Bla Bla Blog suit et soutient depuis sa création en 2016.

    Les femmes seront largement représentées, et pour cause : depuis quelques années, elles dominent largement la littérature érotique et ont permis de donner un nouveau souffle à un genre qui avait tendance à mouliner les mêmes poncifs.

    Outre la présence de Brigitte Lahaie, aujourd’hui animatrice radio et directrice de collection aux éditions La Musardine, cette troisième édition du salon de la littérature érotique recevra la féministe Peggy Sastre (Comment l'Amour empoisonne les Femmes et La Domination masculine n'existe pas aux éditions Anne Carrière), Octavie Delvaux (Sex in the Kitchen, éd. La Musardine), Eva Delambre (Abnégation, Marquée au fer et L’Éveil de L’Ange aux éditions Tabou), Gala Fur (Dictionnaire illustré du BDSM, Les Soirées de Gala et Gala Strip aux éditions de la Musardine), Adeline Fleury (Petit éloge de la Jouissance féminine, Je, Tu, Elle, Femme Absolument), Maryssa Rachel (le sulfureux Outrage, par une personnalité de la dark romance), Julia Palombe (Au Lit Citoyens !, éd. Hugo & Cie), Stella Tanagra (Les Dessous de l’Innocence et Sexe Primé aux éditions Tabou), Guenièvre Suryous, l’illustratrice des Guides de Survie Sexuelle, sans oublier Céline Tran, directrice de collection aux éditions Glénat BD, auteure de Ne dis à Personne que tu aimes Ça (éd. Fayard), coach en sexualité et ninja à ses heures perdues…

    Coach en sexualité et ninja à ses heures perdues

    Les hommes ne seront pas en reste, avec Robin d’Angelo (Judy, Lola, Sofia & moi, éd. Goutte d'Or), Stéphane Rose (Kimberley, sa Vie, son Œuvres, éd. La Musardine) et Étienne Liebig (Le Sexe de la Musique, éd. La Musardine).

    Un an après le déclenchement de l’affaire Weinstein et du mouvement #Metoo, le féminisme et l’engagement citoyen risquent de dominer nombre de rencontres au cours de ce salon de la littérature érotique. Un extrait de la pièce de théâtre événement Sexpowerment, tirée du livre de Camille Emmanuelle, sera lu par Lisa Wiznia et Claire Assali à 17 heures. Un peu plus tard, Adeline Fleury viendra parler des femmes et du discours érotique. Le salon se clôturera par un show musical de Julia Palombe, Au Lit Citoyens ! D’autres conférences et animations ponctueront cette journée bien remplie.

    Intelligent, chaud, ouvert, drôle et polisson : voilà qui va faire de ce salon le plus sexy du monde, ou pas loin.

    Salon de la littérature érotique, le samedi 24 novembre 2018
    La Bellevilloise, 21 rue Boyer, Paris 20e , métro Gambetta, ligne 3
    De 15H à 21H, Prévente 10 € / Sur place 15 €

    http://polissonneries.com/le-salon-de-la-litterature-erotique-2018

    Voir aussi : "Le salon de l’érotisme sous le regard des modèles d’Alex Varenne"
    "Le salon de la littérature érotique remet le couvert"

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  • La face cachée du frigo dans Seven

    Bla Blog ouvre une nouvelle série en laissant la parole au blog L’‎Œil du Frigo. Chaque semaine, il sera question d'un film vu sous l'angle de notre familier appareil électro-ménager. Premier film à subir cette auscultation : Seven de David Fincher (1995).   

    Je commence cette drôle de chronique par un film bien connu : Seven de David Fincher. Évidemment personne n'a retenu la scène du frigo, et pourtant elle est capitale.

    Elle dure 55 secondes après une vingtaine de minutes et tout y est. La porte s'ouvre sur la gauche et pour une fois nous n'avons pas une vue intérieure du frigo. Juste la porte et rien de ce que l'on devine sur ces étagères est digeste, gris, vert, d'ailleurs, à l'image du frigo.

    En haut à droit de l'image nous avons un compartiment pour le fromage et le beurre (butter and cheese) et c'est juste à cet endroit que Morgan Freeman passe la tète, il rentre dans le crâne du criminel comme dans du beurre. Il descend pour bien vérifier l'étendue des dégâts de ce pauvre frigo. Son appétit est ailleurs et surtout pas tourné vers les "bean and cheese" posé sur la porte. Non, Freeman a soif, soif de compréhension et il va boire la scène à petite gorgée.

    Son regard se pose sur le sol, et son cerveau rentre en ébullition. Il fait quelque chose que pas un n'a fait avant lui (à moins que je ne m'emballe...) il va tirer le frigo et regarder derrière, "bigre !", me direz vous. Là il comprend l'étendu des dégâts, il comprend d'où vient le crime...(non..., pas de derrière les frigos , ne commencez pas vos phobies...) Il voit la face cachée de cet appareil qui sert à faire du froid,ou froid dans le dos, et qui a fait bondir l'humanité vers les supermarchés. Il voit l’œil du criminel, son esprit, son machiavélisme, sa folie. Le film peut alors commencer , tout est gravé à l'arrière du frigo.

    ODF

    Seven, drame policier de David Fincher, avec Brad Pitt, Morgan Freeman,
    Kevin Spacey et Gwyneth Paltrow, USA, 1995, 130 minutes

    Voir aussi :
    "L’‎Œil du Frigo débarque sur Bla Bla Blog' 
    http://www.loeildufrigo.fr/2016/10/seven.html


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  • L’‎Œil du Frigo débarque sur Bla Bla Blog

    À partir de lundi prochain, Bla Bla Blog ouvre son site à L’‎Œil du Frigo, un blog décalé et passionnant qui nous fera entrer dans l’univers de quelques-uns des grands films de l’histoire du cinéma grâce à des scènes… de frigo. De frigo ? Je vous imagine ouvrir de grands yeux - les mêmes, du reste, que j'ai fait en découvrant L’‎Œil du Frigo.

    Outre le fait que l’invention du cinéma soit quasi contemporaine à celle du réfrigérateur (1895 pour le premier et 1913 pour le Domelre, le premier frigo domestique fonctionnel), les cinéastes ont régulièrement utilisé des scènes, souvent aussi courtes qu’essentielles, autour de notre habituel appareil électroménager.

    Dès lundi, chacune de ces chroniques, postée à midi juste avant votre pause déjeuner, permettra de s’arrêter sur un film et sur une de ces séquences autour d’un réfrigérateur.

    Il est possible ensuite que vous ne verrez plus votre frigo de la même manière. Le premier film chroniqué sera Seven. Rendez-vous lundi prochain.

    http://www.loeildufrigo.fr

    © Nevil

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  • Obéir ou désobéir ?

    café philo,montargis,château-renard,libre,michel toesca,voxLe café philosophique de Montargis se délocalise en novembre pour une séance spéciale au cinéma Le Vox de Château-Renard. Cette soirée spéciale aura lieu le vendredi 2 novembre à 20H30, après la diffusion du film Libre de Michel Toesca.

    "Obéir ou désobéir ?" Les animatrices et animateurs du café philosophique de Montargis proposeront un débat autour de la notion de liberté, de l’engagement et la désobéissance. Nous aspirons tous à vivre dans une société paisible, dans laquelle les lois entendent maintenir cette concorde. Mais que se passe-t-il lorsque ces lois me semblent "injustes" ? Peut-on considérer que c'est une raison suffisante pour ne pas lui obéir ? Comment vivre sa citoyenneté dans une société conflictuelle ? Quels principes peuvent nous conduire à la désobéissance ?

    Ce seront autant de questions qui seront débattues au Vox, le vendredi 2 novembre 2018, à partir de 20H30.

    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com
    http://www.levox.fr/libre