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Vie quotidienne et tourisme - Page 4

  • Le Bujo, c’est pas que pour les filles

    C’est le début de l’année, le moment des vœux et des bonnes résolutions. Parlons-en justement des bonnes résolutions : faire du sport, manger plus équilibré, être un vrai écolo. Que du grand classique ! De mon côté, dès le 1er janvier, je me suis astreint à me lancer dans un défi de taille : mieux m’organiser et gérer mon temps de travail comme ma vie personnelle, grâce au Bullet Journal. Il s'agit d'un outil conceptualisé par Ryder Caroll (La Méthode Bullet Journal, éd. Mazarine). Le "Bujo", de son nom générique, est devenu un vrai phénomène de société, essentiellement féminin – même si l’inventeur est un homme.

    Est-ce à dire que le Bullet est réservé aux filles ? Non.

    Pour bien comprendre ce qu’est cette méthode créée en 2007, il faut parler de Ryder Caroll, celui qui en est à l’origine. Mauvais élève et enfant peinant à s’intégrer, il découvre assez tôt qu’il est atteint d’un trouble de déficit de l’attention. Pour pallier cet handicap, Ryder Caroll imagine un carnet personnel mêlant l’agenda, le bloc-notes, le pense-bête et le carnet à dessins. Il s’aperçoit bien vite que son invention peut intéresser un large public, et pas seulement les personnes atteintes de TDA. Le Bullet Journal est né.

    Il lance un site web, https://bulletjournal.com, bientôt suivi par des centaines de milliers de visiteurs, avec un tuto devenu viral. Il faut le dire : la méthode du Bujo est d’une très grande efficacité – si on l’adopte – et a su séduire par son parti-pris visuel et esthétique.

    Je vous rassure cependant tout de suite : pas la peine d’être un graphiste aguerri pour s’y lancer. Un peu de goût et de concentration vous permettra de créer votre bullet Journal, qui deviendra un objet aussi nécessaire que votre smartphone.

    Je m’y suis lancé, enfin, grâce à deux outils : un stylo et surtout un carnet. Parlons justement de ce carnet. J’ai eu la chance de recevoir en cadeau de Noël - merci, Nad ! - la "rolls" des Bujo : un Leuchtturm1917… Les connaisseurs apprécieront. 

    La "rolls" des Bujo

    Comment marche un Bujo ? Il faut avoir en tête que cet outil sert avant tout à se "désencombrer l’esprit", comme le dit Ryder Caroll mais aussi à ne jamais rien remettre au lendemain - pour paraphraser un conseil de Sénèque. La lutte contre la charge mentale, particulièrement présente, chez les femmes, explique le succès du Bullet. Dans son essai paru aux éditions Mazarine, l’auteur parle de conscience de soi, de sens, d’introspection ou de déconstruction. Mais soyons honnête : c’est moins cet aspect de développement personnel qui nous intéresse que l’aspect pragmatique du Bujo.

    J’ai suivi les conseils d’un tuto pour concevoir mon bujo : un découpage par mois et par semaine, avec une liste de tâches mensuelles et quotidiennes à accomplir, et que l’on raye ou que l’on coche dès qu’elles sont terminées.

    Une page consacrée aux tâches annuelles peut aussi être mise en place en début de carnet. J’ai prévu deux pages par semaine avec mes objectifs, mes rendez-vous ou mes projets. Entre chaque partie (cela peut être entre deux périodes, deux mois ou deux trimestres), j’imagine inclure des sections thématiques (livres à lire, albums à écouter, films à voir, amis à inviter, rendez-vous professionnels à prévoir, etc.). Un index en début de carnet permet de se retrouver dans l’articulation de mon carnet.

    Après, rien ne vous empêche d’enrichir de votre Bujo d’inventions graphiques. Instagram regorge d’idées et de modèles. De ce point de vue aussi, les filles, vous êtes des reines. Pour autant, il n’est pas question que le Bullet Journal vous soit réservé. Les garçons, c’est aussi à nous de nous lancer. Un peu d’efforts et de créativité, les mecs !

    Ryder Carroll, La Méthode Bullet Journal, éd. Mazarine, 2018, 368 p.
    https://bulletjournal.com
    "How to Bullet Journal"
    https://www.leuchtturm1917.fr

    Voir aussi : "Manger cool pour courir vite"

    © Bullet Journal

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  • À Tanger, je me suis perdu avec Camélia Jordana

    Découvrir, avec le regard d’un artiste, une ville émergente qui pourrait bien devenir incontournable dans quelques années : telle est l’ambition de Capitales inconnues, une série au format court à découvrir sur Internet. Ses créateurs annoncent déjà les futures capitales visitées : Jakarta, Accra, mais aussi Oulan-Bator, Auckland, Téhéran ou La Paz. Les épisodes s’articulent autour de séquences récurrentes : architecture et économie, divertissements, mode, cuisine, arts, sports et personnalités. Capitales Inconnues se déclinera ensuite en capsules courtes, en un site web et en une application, avec l’objectif d’être présent sur les réseaux sociaux.

    Le premier numéro de cette émission hybride, à mi-chemin entre le web documentaire et le magazine culturel, nous fait découvrir Tanger grâce à Camélia Jordana.

    Une des villes les plus hypes d’Afrique du Nord

    La chanteuse et actrice déambule, en compagnie de Laurent Bardainne, dans les ruelles étroites et les lieux les plus incontournables de l’une des villes les plus hypes d’Afrique du Nord. À travers des séquences brèves et rythmées, le spectateur découvre la remarquable Librairie des Colonnes, le café Hafa où Jimi Hendrix, Liz Taylor et les Beatles avaient leurs habitudes, le théâtre Cervantes, le café Baba ou la première maison de Paul Bowles.

    Dans ce premier numéro de Capitale Inconnue, pas de longs discours, de lieux attrape-touristes, de regards appuyés sur des décorums ou des dorures ou de guides rébarbatifs mais une pérégrination cool, guidée par une Camélia Jordana légère et hypnotisante.Ce voyage à Tanger se termine sur les toits de l’hôtel Dar Nour, avec vue imprenable sur la bbaie de Tanger. La chanteuse y interprète Stupid Love, un titre de son nouveau projet musical, le bien nommé Lost. Se perdre dans une ville magnétique avec Camélia Jordana et au milieu de ses habitants : voilà le genre de périple touristique qui ferait rêver n’importe qui.

    Capitales Inconnues de Richard Minier et Leslie Dubest, premier épisode, Tanger,
    avec Camélia Jordana,
    26 minutes version TV / 13 minutes version Web TV / 3 minutes capsules / 1'20 teaser,
    Heavy Surf / Together, 2018
    http://www.capitalesinconnues.com

    © Heavy Surf / Together

  • Sur les pas d’Harry Potter, de Game of Thrones ou d’Outlander

    La Grande-Bretagne et l’Irlande ont su tirer leur épingle du jeu grâce à la télévision et le cinéma. Le tournage des sagas que sont Harry Potter, Outlander, Game of Thrones ou Star Wars ont eu un effet indéniable collatéral sur le tourisme d’outre-manche. Certains professionnels ont réussi à surfer sur l’engouement des séries et des sagas à grand spectacle en proposant des voyages clé en main pour un public de fans bien destinés à marcher sur les traces d’Harry Potter, de Jon Stark ou des derniers Jedis.

    Prenez Brittany Ferries. La compagnie de ferries propose plusieurs formules pour des vacances originales et hors des sentiers battus : la visite des studios de la Warner près de Londres, là où ont été tournés la majorité des épisodes du petit sorcier de Poudlard ; un circuit en Écosse pour suivre les pas de Claire et Jaimie, les héros d’Outlander ; une excursion plus vraie que nature pour visiter le domaine des Winterfell, les Îles de Fer ou la Forêt Hantée de Game of Thrones ; et enfin un pèlerinage en Irlande pour découvrir le Wild Atlantic Way, cette longue route côtière qui longe la façade Atlantique, le lieu de tournage du dernier Star Wars.

    Et voilà comment les professionnels du tourisme arrivent à tirer profit du petit et du grand écran. 

    http://www.brittany-ferries.fr

  • Une BO pour mon pays

    Voilà une initiative originale du spécialiste des voyages en ligne, TravelBird : savoir quelle musique représenterait le mieux son pays. Cette question fait partie de celle qui a été posée aux représentants officielles de centaines de pays. Grâce aux réponses de 49 représentants d’ambassades, une bande originale a été dressée par le spécialiste des voyages en ligne. Il n’est bien sûr pas question de parler d’hymnes nationaux, mais de musiques emblématiques, connues ou non, collant au mieux à l’identité de tel ou tel pays.

    C’est une BO hétéroclite et parfois surprenante que nous proposent ces officiels et promoteurs de la culture de leur pays. La musique classique est bien présente avec Le Beau Danube Bleu de Johann Strauss Fils ou le 21e concerto pour piano de Mozart pour l’Autriche, Finlandia de Sibelius pour la Finlande ou Morning Mood de Grieg pour la Norvège. Mais les ambassadeurs mettent surtout en avant des musiques de la tradition populaire : La Misa Criolla d’Ariel Ramírez ou Mi Buenos Aires Querido de Carlos Gardel pour l’Argentine, Der er et yndigt land de Hans Ernst Krøyer pour le Danemark, Cielito Lindo de Quirino Mendoza y Cortés pour le Mexique ou le mythique et incontournable Que viva España de Manolo Escobar pour l’Espagne.

    Et la France dans tout cela ?

    Mais les ambassadeurs n’oublient pas le répertoire plus actuel, avec des réponses qui ne manqueront sans doute pas d’étonner : Rock Me Amadeus de Falco (Autriche), Canadian Railroad Trilogy de ,(Canada), Ojalá que llueva café de Juan Luís Guerra (République dominicaine) ou… Vienna de Leonard Cohen (toujours pour l’Autriche).

    Pour en savoir plus, TravelBird a mis en ligne les résultats de son enquête.

    Et la France dans tout cela ? Les ambassades de notre pays méritent un carton jaune pour leur silence sur cette enquête. En clair, aucun représentant d’ambassade française dans le monde n’a daigné répondre. Une copie blanche que Bla Bla Blog ne souhaite pas laisser rester morte. Osons donc trois BO pour la France : L’air du Galop infernal d'Orphée aux Enfers de Jacques Offenbach, L’Hymne à l’Amour d’Édith Piaf ou La Javanaise de Serge Gainsbourg.

    À moins bien sûr que la prochaine bande originale de notre pays ne soit celle qui sera composée demain. Allez savoir.

    https://travelbird.nl/travel-like-a-local

  • Trips new-yorkais sur les traces de Robert de Niro, Superman, Harry et Sally

    40 millions de touristes ont choisi leur destination en 2012 parce qu’un tournage s’y était déroulé. Les lieux de fiction sont devenus des centres d’intérêt pour les voyageurs d’après l’Étude TCI - 2012 (Tourism Competitive Intelligence). 90 % des touristes d’Albuquerque au Nouveau Mexique sont venus suite à la série Breaking Bad, la Nouvelle-Zélande accueille 900 000 visiteurs supplémentaires par an depuis la sortie du Seigneur des anneaux en 2001, 50 photos du café parisien des Deux Moulins sont prises depuis la sortie du Fabuleux destin d’Amélie Poulain en 2001 et Dubrovnik-Neretva a reçu plus de 42 % de hausse de fréquentation touristique grâce à Game of Thrones. C’est dire l’importance du cinéma et de la télévision dans l’afflux touristique.

    Lancé par une start-up poitevine, Le Guide New York Fantrippers propose une expérience de voyage insolite et inédite avec plus de 1 000 lieux cultes de films, séries TV, musiques, BD et romans.

    New York n’est pas que limité à la Statue de la Liberté, à Broadway ou au quartier de Wall Street. Pour les amoureux du cinéma, la Grosse Pomme c’est aussi la caserne de Ghostbusters, le pont de Brooklyn dans Il était une fois en Amérique, le Katz’s Delicatessen de Quand Harry rencontre Sally, l’immeuble de Friends ou celui du Daily Planet de Superman, l'appartement de Carrie Bradshaw dans Sex and the City, la station de métro du mythique clip Bad de Michaël Jackson, sans oublier les lieux évoqués dans les romans de Francis Scott Fitzgerald, Paul Auster... ou Guillaume Musso.

    Le concept de Fantrippers a germé à New-York au printemps 2015. Nicolas Albert, journaliste, et Anthony Thibault, web et motion designer, passionnés de pop culture et de voyages, constatent qu’il n’existe aucune source compilant l’ensemble des lieux mentionnés dans les films, les séries, la musique, la bande dessinée ou les romans. Quelques mois plus tard, ils poursuivent leur réflexion sur la mythique Route 66 et créent leur start-up Fantrippers. Elle obtient le soutien de Créavienne, qui lui remet le Prix projet d’entreprise (mention internationale) en 2017, de Start’innov, de La French Tech et d'ADI-Nouvelle Aquitaine.

    Sur les pas des super-héros de Marvel

    Après une application Internet et mobile, la plateforme web collaborative Fantrippers.com, une newsletter, Dailytrippers, envoyée à 10.000 membres et une page Facebook likée par 9.500 fans, cette fois c’est sur papier que se décline Fantrippers qui a déjà dans ses bases de données plus de 10.000 lieux référencés dans le monde et plus de de 3.000 films et séries référencés. Nicolas Albert et Anthony Thibault précisent que ce guide sur New-York a nécessité deux ans de travail, plus de 15.000 cliches et 315 km parcourus sur place. Un sacré challenge au service des fans.

    Le Guide New York Fantrippers de Nicolas Albert et Régis Schneider propose de créer son propre circuit dans le New York afin de se déambuler dans quelques-uns des 1.000 lieux cultes du cinéma et de la télévision. Trois modes de consultation sont proposés par les lecteurs de Fantrippers : par quartier en visualisant immédiatement les bonnes adresses autour de soi, par thème (bars, restaurants, shopping, culture ou parcs) ou encore par œuvre (cinéma, séries TV, musiques, bandes, dessinées ou romans).

    Fantrippers proposera également des idées de visites guidées clés en main : une demi-journée exceptionnelle au cœur de grandes séries (Friends, Mad Men, Castle, Person of Interest ou Sex and The City), un trip 100% girly, avec trois heures d’immersion dans l’univers de Gossip Girls au cœur de l’Upper East Side et une visite à pied ou en ferry sur les pas des super-héros de Marvel.

    Qu’on se le dise : le guide le plus cool de New-York existe et il est français.

    Nicolas Albert et Régis Schneider, Le Guide New York Fantrippers,
    éd. Fantrippers, 384 p., 2018,

    édition anglophone disponible en juin 2018
    http://www.fantrippers.com
    Fantrippers sera au Salon du Tourisme du jeudi 15 au dimanche 18 mars 2018,
    Paris Expo Porte de Versailles, Pavillon 4, stand J-067)

  • Que d'eau

    Alors que les inondations se poursuivent en région parisienne et en Normandie, avec une Seine devenue indomptable, rappelons-nous qu'il y a moins de deux ans, à l'instar de la Marne et de l'Oise les inondations avaient touché l'affluent du Loing. 

    Plusieurs villes avaient été durement touchées, dont Nemours, Moret-sur-Loing et Montargis. Nous en avions parlé sur Bla Bla Blog.

    Hors-série Inondations à Montargis

  • Pianos droits et à quai

    Parfois, des événements appelés à être modestes et éphémères s’avèrent être d’exceptionnels marqueurs sociaux. C’est le cas de l’opération "Piano en gare".

    Il y a cinq ans, entre le 25 juin et 8 juillet 2012, 40 pianos relookés par des artistes avaient été disposés pour la première fois dans des lieux publics, dont deux dans la gare de Paris-Montparnasse. Cette opération, nommée "Play Me I'm Yours", fut déclinée par la SNCF à partir du 20 décembre 2012. La compagnie nationale installa un piano au cœur de la gare Montparnasse dans le cadre d'un événement qui devait, lui aussi, rester éphémère.
    Contre toute attente, cinq ans après, une centaine de gares en France ont adopté cette idée. La décision de la SNCF de mettre un piano à la disposition de ses voyageurs suscite un fort assentiment, en particulier chez les amateurs de piano qui n'ont pas tous les moyens ou la place d'en avoir un à leur domicile. L’idée a même été reprise dans d’autres publics, comme certains hôpitaux (celui du CHR La Source Orléans, notamment).

    À l'occasion du 5ème anniversaire de l'opération "Piano en gare", l'Ifop a réalisé pour Piano Lab une enquête qui confirme l'engouement indiscutable du public pour les pianos en libre-service dans les gares en France.

    87% des Français déclarent approuver l'installation par la SNCF de nombreux pianos dans des halls, 40% se disant même approuver "tout à fait" cette initiative d'aménagement des espaces de circulation comme les gares. Le taux d'approbation du projet "piano dans les gares" est encore plus élevé dans les catégories socioprofessionnelles supérieures (91 au-dessus du niveau baccalauréat, 92% chez les cadres et professions intellectuelles, 91% chez les plus aisés) ainsi que chez les musiciens et mélomanes : 93% des personnes sachant jouer d'un instrument approuvent cette initiative, de même que 90% de ceux qui n'ont pas appris mais le regrettent, et contre seulement 68% des personnes qui ne regrettent pas de ce ne savoir jouer d'aucun instrument.

    L’Ifop a élargi son étude à la pratique du piano et des instruments à musique dans les foyers français. Un Français sur dix possède actuellement un piano (10%), son taux d'équipement tendant à croître avec le niveau de diplôme, le niveau social et le niveau de revenu des personnes interrogées. Par exemple, seuls 2% des ouvriers en possèdent, contre 15% des cadres et professions intellectuelles supérieures. La proportion de Français qui souhaiteraient acquérir un piano est, elle, deux fois plus élevée : 20% des Français en expriment le souhait, en particulier dans les rangs des jeunes de moins de 25 ans (28%) et des cadres et professions intellectuelles supérieures (28%). Si cette aspiration à acquérir un piano apparaît notamment bridée par le prix d'achat – cité comme un frein par 65% des personnes qui aimeraient en posséder – elle est aussi essentiellement contrariée par le manque de place dans son logement (57%).

    Le piano est l'instrument qui compte le plus d'amateurs chez les Français jouant de la musique à l'heure actuelle : un tiers des personnes jouant d'un instrument de temps en temps déclarent savoir jouer du piano (32%), contre un quart de la flûte (26%) et environ un sur cinq de la guitare (21%). Il est vrai que le piano est aussi l'instrument ayant été enseigné au plus grand nombre de Français : plus d'un tiers des Français ayant appris à jouer d'au moins un instrument au cours de leur vie ont étudié le piano (39%), soit un taux légèrement supérieur à la flûte (38%) et à la guitare (33%).

    Le plébiscite pour le "Piano en gare" semble bien faire de cette opération au départ éphémère un service appelé à demeurer pérenne. En tout cas, c’est ce que le public semble plébisciter.

    À propos de l’étude : Étude Ifop pour Piano Lab. réalisée auprès d'un échantillon de 2 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d'agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 27 avril au 3 mai 2017.

    https://www.pianolab.fr
    Étude Ifop

  • L'Athleisure, c’est quoi ?

    L’Athleisure, c'est la tendance du moment et un néologisme apparu tout récemment. L'Athleisure, contraction d"athlète" et de "loisir", est un savant mixte entre le streetwear et le gymwear qui fait rimer sport et mode. Pour la première fois, un festival lui est consacré en France. Il aura lieu du 8 au 11 septembre pendant le salon du Who's Next, le 1er événement parisien pour les entrepreneurs de la mode, à la Porte de Versailles.

    C'est Emmanuelle Mary, fondatrice du Festival du Dress Code et de l’agence Reprazent qui est à l’origine du projet. Elle en parle ainsi : "Mixer mode, sport et bien-être... c'est tout l'art de chausser des stilettos en leggings et de passer de la séance de yoga au meeting stratégique....puis finir sa journée en grignotant des chips de Kale à l'apéro... L'Athleisure est un phénomène global qui s'intègre dans nos vies à multiples facettes : dans la continuité du festival du dress code qui promeut les jeunes marques de mode, j’ai souhaité présenter ces marques Athleisure l’offre globale de cette tendance et proposer un nouveau concept : Le festival Athleisure."

    Un espace ouvert et animé de 60 m² sera dédié à ce mouvement très tendance. Le festival proposé par Emmanuelle Mary présentera et incarnera l’Athleisure sous toutes ses facettes, avec notamment un conceptstore multi-marque, un espace bien-être, une zone dédiée à des initiations sportives ou un corner healthy. Bliss you la start-up dédiée au bien-être animera plusieurs ateliers, différentes initiations sportives seront programmées et des dégustations de produits healthy seront offertes tout au long du salon.

    La conceptrice de ce concept alliant sport et mode a sélectionné une série de marques pointues présentes sur le premier festival dédié à l’Athleisure : Pyrates (Suisse), TSH (France), Kitiwaké, (France), Révèle (France), Minirine (France), Mandala fashion (Allemagne), Mobot (USA) et Animeeparis.com (France), la première e-boutique française dédiée à l’Athleisure. Elle viendra présenter une sélection de marques.
    Rendez-vous est pris à la porte de Versailles du 8 au 11 septembre 2017, pendant le salon du Who's Next, pour celles et ceux qui veulent brûler leur graisse, mais avec élégance.

    Festival Athleisure
    Lors du Festival du Dress Code, du 8 au 11 septembre 2017
    Porte de Versailles, Hall Trendy, stand B120
    De 9h à 19h du vendredi au dimanche et de 9h à 18h le lundi
    http://festivaldresscode.fr