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Vie quotidienne et tourisme - Page 5

  • Les reflex boivent la tasse

    Les appareils connectés n’en finissent pas de faire la nique aux technologies traditionnelles. Cette fois, ce sont les reflex qui boivent la tasse, avec l’arrivée sur le marché de la DxO ONE qui offre de nouvelles possibilités photographiques aux smartphones.

    La DxO ONE est un accessoire plug & play qui se fixe directement à l’iPhone d’un simple clic. L’écran Retina du téléphone devient un viseur qui permet d’effectuer tous les réglages de l’appareil et de prendre des photos à faire pâlir d’envie.

    Avec ses 108 grammes et ses 7 cm de hauteur, la DxO ONE est ultra-compacte et s’emporte partout, que ce soit dans une poche de short ou un sac de plage.

    Dotée d’un capteur un pouce de 20 Mégapixels et d’une optique haute qualité à ouverture f1/8, elle permet de prendre des photos équivalentes à celles des appareils reflex professionnels, même en
    faible lumière.

    Pour les amateurs de sensations fortes, l’Outdoor Shell permet d’emporter la DxO ONE sous l’eau : son caisson étanche la protège des chocs, de la poussière, des éclaboussures et lui permet d’être immergée jusqu’à 45 mètres de profondeur.

    Le must reste bien entendu la connectivité, via la possibilité de partages des clichés sur les réseaux sociaux ou simplement par MMS.

    Les photographes du dimanche ou de cet été casseront leur tirelire pour ce joujou séduisant. Les amateurs de reflex verront ce nouveau concurrent avec une bonne dose d’amertume.

    DxO ONE, 499 €, Fnac, dxo.com, Amazon
    Les accessoires DxO ONE incluent l’Outdoor Shell au prix
    de 59,90 €, le Stand (support-adaptateur pour trépieds et monopodes) au prix de 24,90 €,
    l’Optical Adapter (adaptateur pour filtres et accessoires optiques) au prix de 24,90 € et le
    Zipped Pouch (pochette de protection renforcée) au prix de 19,90 €
    http://www.dxo.com/fr/dxo-one

    © Sarah Lee

  • Manger cool pour courir vite

    Le titre de cette chronique est une traduction approximative du best-seller surprise américain, Run Fast. Eat Slow (éd. Amphora), vendu aux Etats-Unis à plus de 80 000 exemplaires en six mois. Sorti en France il y a quelques semaines, il devrait faire le bonheur de nombreux sportifs sur notre sol, qu’ils soient amateurs ou professionnels.

    Run Fast. Eat Slow (sous titré : Des recettes savoureuses pour les athlètes) a été écrit à quatre mains par la marathonienne olympique Shalane Flanagan et la chef cuisinier Elyse Kopecky.

    Les deux auteures ont allié leur talent et leur expérience pour concevoir et concocter une centaine de recettes à la fois bonnes, délicates et nutritives pour que la nutrition sportive ne se limite plus aux barres énergisantes ou aux sempiternelles plats de pâtes : "Pourquoi ne pas se faire plaisir avec des mets sympathiques sans trop se soucier des calories, des glucides ou des lipides ? (…) D’autant que nous constatons que les régimes conduisent au déséquilibre alimentaire, à des envies de sucre ou de grignotages et, en définitive, à une surcharge pondérale", écrivent les auteures dans la préface. CQFD.

    Dans Run Fast. Eat Slow, ce sont plus de 100 recettes qui sont proposées par l’ancienne médaillée olympique et l’ancienne directrice de marketing devenue cuisinière professionnelle pour le Natural Gourmet Institute for Health and Culinary Arts.

    Il y en a pour tous les goûts dans ces plats présentés par Shalane Flanagan et Elyse Kopecky : sans gluten, végétariens, végétaliens, bios et conçus si possible par des produits locaux – une précision qui prouve qu’acheter dans des circuits courts est aussi une préoccupation aux États-Unis.

    Le lecteur ne sera pas déboussolé par un ouvrage à la fois intelligent, cool et qui est tout sauf un manuel de coaching pour athlète averti. Les deux auteures précisent d’ailleurs que les recettes proposés ne mentionnent ni mesures de calories, ni décomptes de glucides, protéines et lipides. Shalane Flanagan et Elyse Kopecky se content de faire un focus sur les apports en vitamines, antioxydants ou omégas 3 contenus dans tel ou tel aliment.

    Pour le reste, pas de bavardages inutiles mais des recettes qui donnent envie de se mettre aux fourneaux, que l’on soit athlète ou non : les boulettes de bison marinée, le pesto de roquette aux noix de cajou, le crostini au chèvre, figues et thym, la salade aux nouilles soba et sauce aux cacahuètes du coureur, le poisson en papillotes au citron et aux olives ou les muffins de super-héros.

    Avec ça, peu de risque que l’après-repas se transforme en un long tunnel digestif. Il se pourrait même que vous vous sentiez l’âme d’un sportif et que vous décidiez de prendre en main votre santé et votre corps.

    Shalane Flanagan et Elyse Kopecky, Run Fast. Eat Slow, éd. Amphora, 2017, 242 p.