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chanson - Page 5

  • Brune et chauffée à blanc

    À la première écoute de Vendetta, le nouvel EP de Brune, son troisième, la première réaction est de dire : quel bonheur de retrouver du rock revigoré et féminin, mené avec une telle maîtrise !

    Brune, c’est du solide, du brut à la PJ Harvey, de la braise et du sentiment chauffé à blanc, à l’instar de cette vibrante déclaration d’amour qu’est "C’est tous les jours" ("Reste là / Ton corps est chaud comme la braise / Reste le même / Je veux te mordre tant je t'aime") ou encore l’appel désespéré à l’amour et à "l’émotion dans les hanches" de cet autre morceau, "Des vagues et des lunes" ("Viens faire trembler les murs / Vas-y fais monter le mercure / Quand tout me lasse et me torture"). De vrais beaux et puissants messages, et pourtant, en amour, "pourquoi tout est si complexe ?" s’interroge l’artiste tout haut.

    L’émotion dans les hanches

    Des sons électros viennent viennent autant revivifier le rock de Brune que les paroles engagées et bien de notre époque dans laquelle l’artiste lyonnaise chante les états d’âme d’une fille passablement énervée par les mecs – et bien décidée à prendre sa revanche. C’est "Vendetta", un cri de colère sans concession, avec ce je ne sais quoi du timbre des Brigitte : "Et j’irai claquer tout ton fric / Dans des boites et champagnes à gogo / Et j’irai m’planquer à 10 000 bornes / T’auras qu’à pleurer dans les cuisses de ta conne".

    La sincérité est sans doute ce qui caractérise le plus Brune. "Devenir une autre", comme elle le chante dans le dernier morceau ? Très peu pour celle qui va à l’essentiel : aimer, vivre, rassurer et trouver la douceur dans les bras de son enfant ("À l’abri"). Ainsi pourrait être la délicate, doux et émouvante conclusion de cet EP, à la fois brillant, revivifiant et fort bien conçu. Du bel ouvrage. 

    Brune, Vendetta, Choubizz / Inouïe Distribution, 2023
    https://www.facebook.com/brunemusic
    https://www.instagram.com/brunezic
    https://www.youtube.com/@BruneMiss

    Voir aussi : "L’amour, comme un jeu vidéo"

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  • ArchiPol au naturel

    Nouveau visage de la scène française, ArchiPol se distingue autant par son look tout en élégance et en dandysme que par son univers et ses chansons où parler du quotidien n’exonère pas de faire poésie.

    Chanson française, orchestration acoustique, rythmes urbains et slam s’agencent avec intelligence et classe dans "L’amour vache", listant tous les états d’amour, sans rien cacher de leur cruauté : "Ou est-ce que toi qui te lasses ? / On s’blesse, on s’griffe, qu’on soit cash ou qu’on s’cache / On se trashe, on rabâche la mélasse, et puis on s’casse, / Y a ces portes qui claquent, tous les deux le cœur en vrac".

    Avec "Au pays de la Glanderie", ArchiPol s’inscrit dans une chanson française à la fois drôle, impertinente et non sans dérision, suivant les pas de Sanseverino.

    Il faut enfin absolument noter que son album Au Naturel, sorti en septembre dernier, a été enregistré entièrement sur bande magnétique, à contre-courant de notre époque du “tout digital”, une démarche que l’on ne peut que saluer.

    ArchiPol, Au Naturel, Buveur de la Pleine lune / Inouïe distribution, 2023
    https://archipol.fr
    https://www.facebook.com/ArchiPol.tune
    https://www.instagram.com/archipol_tune

    Voir aussi : "French k-pop"

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  • L’amour, comme un jeu vidéo

    Vanessa Philippe revient avec un nouveau single, le deuxième extrait de son futur album, très attendu après son brillant opus, Soudain les oiseaux. Pour son album prévu février 2024, Vanessa Philippe s’est offerte la collaboration d’Alba.

    Pour son titre "L’amour c’est chiant", Vanessa Philippe explore le sentiment et surtout le désenchantement amoureux à travers une chanson électro-pop grinçante, drôle, se jouant de répétitions hypnotiques ("L’amour c’est chiant") mais aussi de paroles sentant le vécu : "Tu t’en vas tu viens / Tu t’en vas et tu reviens / Moi souvent je pense à toi / Je pense à toi et puis je pleure".

    Parlons aussi du clip de Vanessa Philippe. L’artiste a montré tout son talent dans ses vidéos multi-récompensées. Pour celle de son dernier single, elle a choisi la sobriété, le noir et une ambiance mi night-club mi jeu-vidéo, avec un personnage mythique que beaucoup reconnaîtront. Surprise. Heureuse surprise, même. 

    Vanessa Philippe, L’amour c’est chiant, Le Poisson Spatial / Modulor, 2023
    www.vanessaphilippe.com
    https://www.facebook.com/vanessaphilippemusic
    https://www.instagram.com/vansphi

    Voir aussi : "Un nouveau single de Vanessa Philippe pour la Saint-Valentin"
    "Encore un mot d’Alba"

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  • French k-pop

    Née en France, c’est à l’étranger que Loulia a a fait ses armes musicalement parlant, d’abord à Berlin, puis en Corée du Sud où la jeune musicienne a passé dans plusieurs émissions TV et radios. Certaines des vidéos dans lesquelles la jeune femme chante ont réuni jusqu’à plus de 28 millions de vues. Après quatre ans à Séoul, retour en Europe et en Allemagne.

    Or, elle revient en ce début d’automne avec le titre pop "Warm" - plus exactement '따뜻해' (Warm) - que nous pourrions aisément inscrire dans le courant de la k-pop, car il a été écrit en coréen. Forte de ses racines françaises et européennes, et soutenue par la collaboration du jeune producteur Allemand Tim Schoene, Loulia donne à cette k-pop une subtilité, une douceur et une sensualité évidentes.

    L’amour comme une évidence, la chaleur, le lâcher-prise, dans un coréen susurré avec délice. Voilà qui est idéal pour commencer un automne souvent morose. Décidément, Loulia a réussi à sortir de la k-pop de ses ornières. Nul doute que son public coréen saura être touché par cette Française chantant l’amour avec cœur et grâce dans leur langue.     

    Loulia, '따뜻해' (Warm), ft. Tim Schoene, 2023
    https://www.instagram.com/loulia_officiel
    https://www.tiktok.com/@loulia_officiel
    https://twitter.com/Loulia_Officiel

    Voir aussi : "Comme un air de James Bond Girl"

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  • Objectif Captain Sparks

    Il y a du Sanseverino chez Captain Sparks et sa Royal Company. Voilà ce que l’on se dit dès la première écoute de son deuxième opus, Objectif lune.

    Sens du swing, utilisation sans complexe d’un big band sur-vitaminé et un interprète monté sur ressort et qui ne se prive pas de moquer les travers de notre monde complètement fou ("La bande à Picsou"). La vie, le bonheur, l’amour. Voilà, ce qui guide cet EP, comme le prouve les titres "La vie en rose" ou "On y va". 

    L’auditeur trouvera surtout chez le groupe rouennais Captain Sparks & Royal Company du soleil et de la fête, dans sa manière de marier les influences françaises, latines et urbaines. "Notre musique est faite pour être jouée en live, elle diffuse une énergie supplémentaire.  On assure une vraie présence scénique avec six musiciens. Les morceaux sont travaillés en ce sens" comme le confie Captain Sparks.

    Ambition musicale

    L’ambition musicale autant que la générosité et l’intelligence d’"Optimiste amateur" invitent à se sortir du marasme et aller à la quête du bonheur, à travers une mélodie excellemment travaillée et une orchestration à l’avenant. Sans doute l’un des plus beaux morceaux de l’opus.

    Tout aussi dense, "Objectif lune", qui donne son nom à l’album, fait marier chanson française, instruments traditionnels et rap, avant une redescente en douceur avec "Royale Compagnie", en featuring avec Ben Herbert Larue. Un morceau en forme de signature autant qu’un retour à ce qui fait finalement l’ADN de Captain Sparks : la chanson française à la Georges Brassens, Barbara et, bien sûr, Sanseverino. 

    Captain Sparks & Royal Company, Objectif Lune, 2023
    http://captainsparks.fr
    https://www.facebook.com/CaptainSparksRoyalCompany
    https://www.facebook.com/CaptainSparksRoyalCompany

    Voir aussi : "Bourlingueuse"

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  • Bourlingueuse

    Partons à la découverte de Christina Rosmini et de son nouvel album mystérieusement intitulé INTI. "INTI" comme "intimité" ? Sans doute. Mais aussi et surtout comme comme Inti, le dieu du soleil chez les peuples andins.

    Voilà qui donne d’emblée un caractère lumineux et voyageur à l'opus. La Marseillaise Christina Rosmini fait en effet de chacun des quatorze titres de son opus autant de cartes postales, de l’Espagne ("Le temps qui passe", la sévillane "Oublions") au Québec ("La louve"), en passant par l’Afrique, l’Amazonie ("Rouge"), l’Argentine (le tango amoureux et de rupture "Mais pourquoi ?") et sa chère Méditerranée, avec le joli et sensuel cha-cha "Tant de fleurs".

    L’auditeur français sera sans doute plus frappé encore par la composition incroyable "Le konnakol du bon vieux temps". Christina Rosmini fait ici un périple musical du côté de l’Inde pour proposer en français – avec des extraits du répertoire de Farrukhabad Gharana – un konnakol, un duel de percussions vocales. Cela donne une forme de slam d’autant plus hyper-moderne que la chanteuse entend fustiger la nostalgie, sur le mode du "C’était mieux avant" (mais "avant… c’était quand ?", conclue-t-elle malicieusement). C’est aussi d’Inde dont il s’agit dans "Devi", une prière à destination de Devi, la Déesse-Mère en Inde. Christina Rosmini lui demande de l’éclairer sur les mystères et la folie du monde.  

    "Qu’il ne reste à l’inventaire / Qu’il ne reste en bandoulière / Qu’il ne reste que le bon / Et aucune amende amère / Aux refrains de notre chanson"

    Bourlingueuse dans l’âme, la chanteuse vient puiser ses inspirations de sons à la fois familiers ("Le kid") et venus d’ailleurs, à l’instar de la chanson pleine de nostalgie "Le temps qui passe" ou "Sous nos pieds". Impossible de ne pas parler de "La fea", une reprise en espagnol d’un chant traditionnel zapotèque de la région de Oaxaca au Mexique. Toujours en Amérique latine, la chanteuse française propose avec "Rouge" un chant enregistré au cœur de la forêt amazonienne, en hommage aux tribus des premières nations américaines et venant rappeler les saccages sur les forêts et les atteintes à la nature, fondamentale dans la culture des premiers peuples de ce continent ("Coule le sang sur les routes / Coulent les larmes vers l’océan"). L’auditeur sera frappé par l’authenticité de ce titre, tant Christina Rosmini sait admirablement marier chanson française et sons traditionnels andins, au service d’un message généreux autant que poétique ("Pleure l’esprit des rivières / Pleure le cœur des terres volées / Pleurent les fils et les mères / Pleurent les sœurs envolées").

    La voix douce et chaleureuse de Christina Rosmini sert admirablement des chansons engagées, que ce soit ces hymnes à la nature et à l’environnement ("La louve", aux accents également féministes ou "Something In The Air" sur la Terre-Mère) ou cet émouvant duo avec Ray Lema en hommage aux émigrés et victimes de l’Aquarius en 2017 et ses vingt-deux victimes, la quasi-totalité des femmes ("Sous nos pieds").

    L’engagement est-il encore tenable, se demande malgré tout la chanteuse dans "J’aurais voulu" ? "J’aurais voulu sauver la terre / J’aurais voulu sauver le beau / J’aurais voulu sabrer la guerre / Ouvrir des horizons nouveaux", chante Christina Rosmini. L’artiste entend bien, justement, ne pas se démobiliser : "Il faut malgré l’indifférence / Les doutes et la souffrance / Se dire qu’on avance / Et qu’avec un peu de chance / Ce sera mieux demain". Femme libre, elle le dit autrement dans cet autre morceau, "Because", sous forme de confession : "Je vivrai toujours / Au gré du hasard / Au son des guitares".  

    Des éclats de lumière et d’optimisme éclairent finalement ce très bel album, voyageur qui plus est. Il n’appartient qu’à nous d’oublier les mauvais jours, les rancunes, les espoirs déçus et cette tristesse qui gâche notre présent, chante enfin Christina Rosmini dans "Oublions (Sévillane de l’oubli) : "Qu’il ne reste à l’inventaire / Qu’il ne reste en bandoulière / Qu’il ne reste que le bon / Et aucune amende amère / Aux refrains de notre chanson".

    Christina Rosmini, INTI, Couleur d'Orange / L'Autre Distribution, 2023
    https://www.christinarosmini.com
    https://www.facebook.com/christinarosminiofficiel
    https://www.instagram.com/christina_rosmini

    Voir aussi : "À hauteur de Lhomé"

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  • Histoires de roux et de rousses

    Je vous parlais il y a peu de l’étonnante et rafraîchissante compilation de Camille et Julie Berthollet consacré aux génériques télé (Series). Tout aussi vivifiant, leur version des Quatre Saisons de Vivaldi, sortie en 2019, mérite que l’on s’y intéresse.

    Certes, depuis les revisites baroques sur instruments d’époque au cours des années 80 et 90, le chef d’œuvre populaire du compositeur roux vénitien semble avoir été assez peu dépoussiéré – si l’on excepte celle de Nemanja Radulovic en 2011. Or, soyons honnêtes, les jeunes divas rousses de la musique classique ne révolutionnent pas la lecture des célèbres quatre concertos pour violon.

    C’est un retour à une œuvre classique, archi-jouée, archi-connue et archi-réutilisée que Camille et Julie Berthollet proposent, et l’on doit bien admettre que les violonistes se tirent très bien de cet exercice, si l’on pense au "Printemps ». Pour "L’été", les interprètes mettent la jeunesse, l’enthousiasme et la vivacité à l’honneur, dans un premier mouvement "Allegro non molto" mené tambour battant et un "Allegro" naturaliste et nerveux.

    L’auditeur ne se sentira pas dépaysé par cette version somme toute classique des Quatre Saisons, dont chaque concerto ne dépasse pas les douze minutes, ce qui rend cette œuvre d’autant plus dense, efficace et imagée : les danses villageoises aux beaux jours, les paysages écrasés de soleil, les couleurs de l’automne, la nature qui s’endort (l’"Adagio Molto" de "L’automne"), sans oublier les tourbillons musicaux incroyables dans "L’hiver", sont sans aucun doute l’un des summums de la musique classique. 

    Pop

    Si les sœurs Berthollet ont appelé leur album Nos 4 Saisons, ce n’est évidemment pas sans raison. Comme elles l’écrivent en présentation de leur disque, les interprètes insistent sur la puissance et l’influence de cette œuvre du "prêtre roux" dans l’histoire de la musique : "Si on écoute bien, on retrouve ses harmonies dans toute la musique pop d’aujourd’hui".

    "Pop". Le mot est dit et assumé. Camille et Julie Berthollet assument cette idée en proposant, suite à leur version des concertos de Vivaldi, quatre chansons composées en grande partie par les sœurs Berthollet d’après des fragments et des extraits des Quatre Saisons. C’est "Pour être une femme", en featuring avec Joyce Jonathan, d’après "L’hiver", c’est "Même étoile", avec Ycare, d’après "L’automne". C’est aussi "Crash d’amour", avec Foé d’après "Le printemps". Il faut aussi parler de "Regard d’été" écrit, composé et interprété (on aimerait même dire slamé) avec grâce par Camille et Julie Berthollet. Cette chanson est sans doute l’un des bijoux surprises de cet étonnant opus, opus plaisir qui entend dépoussiérer les monuments du classique.  

    Comme beaucoup d’enregistrements des Quatre Saisons, celui-ci se termine avec une version de L’estro armonico, un ensemble de concertos pour violon, mené avec maestria et un plaisir manifeste. Et comme les sœurs Berthollet entendent assumer jusqu’au bout leurs envies de décloisonner les genres, elles clôturent leur album avec une chanson originale, "Falling", prouvant que ces artistes ne sont pas que des interprètes inspirées. Elles sont aussi des compositrices, aussi à l’aise dans le classique que dans la pop et la chanson. 

    Camille & Julie Berthollet, Nos 4 Saisons, Warner Classics, 2019
    https://www.warnerclassics.com/fr/release/4saisons
    https://www.camilleetjulieberthollet.com
    https://www.facebook.com/camilleetjulieberthollet
    https://www.instagram.com/julieberthollet
    https://www.instagram.com/camilleberthollet
    https://www.youtube.com/channel/UCd4tZR7nSGBtHF5Gbt4BZQg

    Voir aussi : "Chiller avec les sœurs Berthollet"

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  • Voyageuse amoureuse

    Vanessa Philippe est de retour avec un nouveau single, "Embrasse-moi". Un petit événement en soi, dans la mesure où il annonce la sortie de son prochain album prévu pour février 2024.

    Bla Bla Blog aime Vanessa Philippe et est tombé sous le charme de son opus précédent,  Soudain les oiseaux, qui était dédié à sa sœur prématurément disparue.

    "Embrasse-moi" respire une forme d’apaisement tout comme un retour à la vie, et à l’amour, bien évidemment : "Pose tes lèvres / Sur les miennes / Pose tes lèvres / Avec la langue / Pose tes lèvres / On ira mourir / Demain".

    Qui dit single de Vanessa Philippe, dit clip que l’artiste a réalisé elle-même, comme à la maison. Efficacité de la mise en scène, arrangements cartoonesques, couleurs vives, inspirations de Salvador Dali ("Canapé Boca") : Vanessa Philippe montre qu’elle est une artiste complète et, décidément, particulièrement attachante. Son prochain album sera bien sûr à suivre début 2024.

    Vanessa Philippe, Embrasse-moi, Le Poisson Spatial / Modulor, 2023
    https://www.vanessaphilippe.com
    https://www.facebook.com/vanessaphilippemusic
    https://www.instagram.com/vansphi 

    Voir aussi : "Un nouveau single de Vanessa Philippe pour la Saint-Valentin"
    "Soudain, Vanessa Philippe"

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