Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

confiné

  • Sortir en pyjama

    Le moins que l’on puisse dire c’est que le confinement a fait apparaître d’autres manières de se cultiver, voire de sortir.

    Le dernier avatar de ces nouvelles manières de se divertir est Pyjam’Advisor, un service mis en place par la plateforme Toot Sweet, dédiée aux sorties parisiennes : Pyjam’Advisor propose une sélection personnalisée de contenus et d’activités 100% gratuits pouvant être réalisés à domicile.

    Visites virtuelles de musées, expositions, jeux, des activités pédagogiques pour les enfants, tutos, films, livres numériques, podcasts : tout ce qu’il est possible de faire gratuitement en restant chez soi est disponible sur Pyjam’Advisor, annoncent les créateurs de ce service. Visiter la Tour Eiffel, revivre le parcours exceptionnel des Bleus en Russie en 2018, devenir un vrai jardinier ou chiller devant un film de super-héros : il n’y a que l’embarras du choix.

    La notation sert de mètre-étalon pour la plateforme. Pour aider les utilisateurs à choisir une prochaine activité confinée, Pyjam’Advisor regorge de notes et d’avis au même titre qu’un Tripadvisor pour les sorties. Pour ne retenir que le meilleur, la plateforme conserve uniquement les suggestions les mieux notées et supprime automatiquement toute suggestion dont la note descendrait en dessous des 3/5. Mais il y a aussi la possibilité de proposer des contenus ou des idées d’activité qui n’auraient pas été repérés par Pyjam’Advisor.

    Lancé le 1er mai dernier, soit dix jours avant la fin confinement, le service de divertissements en ligne compte bien s’installer durablement dans cette nouvelle ère post-covidienne, où rester chez soi devient la meilleure arme de résistance face à la pandémie. Bien au-delà de la crise sanitaire, Pyjam’Advisor ambitionne de devenir la source d’inspiration de nos soirées casanières.

    Pyjam’Advisor
    https://pyjamadvisor.com

    Voir aussi : "Imaginarium at home"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

  • Notre hors-série "Grand Confinement" se termine aujourd'hui

    Jour J : ce lundi 11 mai marque le début du déconfinement, après 55 jours d'une crise sanitaire hors du commun. L'avenir dire maintenant ce que l'histoire retiendra de cette période pendant laquelle tout s'est arrêté dans le pays. 

    Enfin pas tout, loin s'en faut : car les hôpitaux comme les magasins d'alimentation ont permis au pays de continuer à vivre. Pour cela, et grâce à l'abnégation de millions d'employés - infirmières, caissières, éboueurs ou gens de ménage -, souvent des personnes inconsidérés et mal payés (et majoritairement des femmes), nous devons être d'une reconnaissance sans limite. 

    Et les artistes dont nous avons parlé sur ce blog ? Et bien ceux qui se sentent à juste raison comme des oubliés, sont aussi ceux qui ont marqué ce Grand Confinement par leur présence sur les réseaux sociaux. Car à défaut de salles de concert ou de galeries ouvertes, ils ont continué à créer et à se produire. Gratuitement, généreusement, et avec souvent enthousiasme. Un grand merci à eux. 

    Bla Bla Blog a largement ouvert ses pages à ces artistes qui ont accompagné cette période unique. Gageons que l'on saura s'en souvenir.    

    Hors-série "Grand Confinement"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

  • "Ils ont parlé du paon d’Amy"

    En cette fin de confinement, je vous invite à découvrir une nouvelle bien d’actualité : le confinement, la pandémie ("paon d’Amy"), le coronavirus et ces fameux masques sont vus sous les yeux d’un jeune enfant.

    Maman, le confinement et moi, de Mathilde Coucke, est un texte à la fois audacieux, bien vu, drôle et d’une très grande finesse. Un vrai petit bijou.

    La nouvelle est à découvrir sur le site de la Médiathèque de Levallois.

    Mathilde Coucke, Papa, Maman, le confinement et moi, nouvelle, 2020
    Médiathèque de Levallois

    Voir aussi : "Tatiana de Rosnay, ce sont ses fans qui en parlent le mieux"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog ! 

  • J’avoue j’en ai bavé pas vous

    La Javanaise est à l’honneur cette semaine de fin de confinement, grâce à un projet lancé par Radio France et le Théâtre du Châtelet. Les organisateurs avaient invités tous ceux qui le souhaitaient à interpréter ce joyau de Serge Gainsbourg.

    L’opération portait un nom faisant directement référence aux paroles de ce titre légendaire: "Le temps d’une chanson" : "J'avoue j'en ai bavé pas vous / Mon amour / Avant d'avoir eu vent de vous / Mon amour / Ne vous déplaise / En dansant la Javanaise / Nous nous aimions / Le temps d'une Chanson."

    Les amateurs de tout poil avaient jusqu’au 1er mai pour envoyer leur propre interprétation de La Javanaise afin de constituer un chœur virtuel. Au total, ce sont 900 interprètes – confinés – de tous horizons qui ont répondu… dont Jane Birkin elle-même.

    Le résultat, aussi impressionnant qu'émouvant, a été mis en ligne ce 9 mai à 18 heures. Le voilà enfin.

    Le temps d'une chanson : grand chœur virtuel sur La Javanaise
    https://www.francemusique.fr

    Voir aussi : "Gainsbourg, un enfant de la chance"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

  • L’envie d’avoir envie

    Évidemment, Envie d’être en vie de Marie Bastide renvoie au cultissime titre de Johnny Hallyday, écrit par Michel Berger, le siècle dernier. Mais Envie d’être en vie est surtout le dernier titre de Marie Bastide, préambule de son premier album prévu en juin.

    Marie Bastide ne vous dit sans doute rien. Elle est pourtant une auteure et compositrice de talent qui a travaillé a écrit pour Anggun, Florent Pagny, Calogero (Un jour au mauvais endroit), Céline Dion ou Louane (Si t’étais là). Pour ce tout premier morceau qu'elle chante elle-même, Marie Bastide a filmé le clip chez elle, en pleine période de confinement.

    Envie d’être en vie a tout pour un être tube. Il est à découvrir ici.

    Marie Bastide, Envie d’être en vie, 2020
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Bastide

    Voir aussi : "Ah, les garçons..."

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

  • Arnaud Prochasson : "Emi, c’est potentiellement notre copine à tous"

    Nous parlions il y a quelques jours du court-métrage d’Arnaud Prochasson, Emi. Le réalisateur a été récompensé lors du dernier VIFF (Varese International Film Festival). Il a bien voulu répondre à nos questions. Une interview confinée, bien entendu.

    Bla Bla Blog – Bonjour Arnaud. Ton actualité du moment c’est un film, un court-métrage, Emi, pour lequel tu as obtenu le prix du meilleur réalisateur au Festival du Film International de Varèse. Félicitations à toi. Raconte-nous comment s’est passée cette manifestation. Cette récompense était-elle une surprise ?
    Arnaud Prochasson Bonjour et merci beaucoup. Le festival de Varese s’est adapté au Covid-19, comme beaucoup d’autres. Beaucoup ont été annulés, d’autres reportés, et certains comme Varese sont devenus online. Ils ont décidé de faire des sélections mensuelles avec une finale en fin d’année regroupant tous les gagnants des compétitions mensuelles. Emi a donc reçu son prix pour la sélection de mars. J’ai reçu un mail me confirmant ma sélection et trois jours après, j’ai été taggué sur Facebook par le festival. C’est comme ça que j’ai appris le prix. Autant te dire que je n’ai pas beaucoup d’anecdotes de festival à te raconter. À part que c’était totalement inattendu comme prix.

    BBB –Emi est un court-métrage de moins de 4 minutes qui nous raconte l’histoire d’une séparation. Qu’as-tu voulu raconter dans ce film ? Et d’abord, sans nous spoiler, qui est cette Emi que l’on voit finalement très peu ?
    AP –
    Le film tente de parler des choix que nous faisons. Ici, sans spoiler, on comprend très vite que Tom fuit sa future paternité. Il se prend le coup de flip qui doit toucher pas mal d’hommes dans cette situation. Ça parle du choix de partir, et du choix de revenir… ou pas. Emi, c’est donc potentiellement notre copine à tous. Ce qu’on sait d’elle, c’est qu’elle ne veut pas que Tom parte et tente de le faire revenir sur sa décision.

    BBB –Peux-tu nous raconter l’histoire de ce film depuis le moment où tu en as eu l’idée ?
    AP – C’est tout simplement un rêve que j’ai fait. Dans mon rêve, je me vois en train de m’embrouiller au téléphone avec ma copine. Je rentre dans cette ruelle, passe devant un bar ou plusieurs jeunes se moque d’un autre, plus frêle. Je suis bloqué au bout de la ruelle, la communication se coupe. Je fais demi-tour et je tombe au milieu de cette dispute entre jeunes. Le plus frêle s’enfuit vers le boulevard. Accident ! Arrivé sur place, je me rends compte que le jeune a disparu et que le mec par terre, c’était moi. Ça, c’est mon rêve ! Il y a pas mal de similitudes. Le reste, on l’a brodé autour pour accentuer la dramaturgie. On a réécrit avec mon chef op jusqu’à la veille du tournage au grand dam de ma première assistante et on a réécrit tous les dialogues une heure avant de tourner, au grand dam des comédiens.

    BBB –Le tournage s’est tourné à Montargis où tu as tes attaches. C’était important d’y poser tes caméras ?
    AP – Important oui et non. Ce qui était important c’était de pouvoir tourner dans des conditions logistiques confortables et de bénéficier d’un maximum de coups de main locaux ô combien vitaux. Bloquer une ruelle comme ça, de nuit, avec un carrefour fermé à la circulation, une destruction de voiture et des machines à fumée de partout, à Paris, m’aurait été tout bonnement refusé. Surtout sans prod derrière. À Montargis, ça a pris deux mails et deux coups de téléphone. L’avantage d’avoir grandi ici fait que je connais très bien les élus locaux. On a eu tout ce qu’on voulait niveau autorisations de tournages, rues bloquées et places de parking réservées. Je tiens à remercier Benoit Digeon, le Maire. Le député, Jean-Pierre Door nous a même prêté sa permanence pour servir de local maquillage, régie et costumes. Mes parents ont participé activement à l’hospitalité de l’équipe, ça aussi, c’est précieux. Et, grâce à Erick Serdinoff et son association des Prospecteurs du 7ème Art, nous avons pu tourner avec les jeunes pour les postes techniques (machine à fumée, éclairage, blocage de rue, etc.). Sans eux, ç’aurait été vraiment galère !

    BBB – Et puis il y a le boulevard des Belles Manières. Pourquoi avoir choisi ce lieu ?
    AP –
    Par pur pragmatisme. On avait une nuit de tournage. Déplacer une équipe prend du temps. Et là, on en manquait. Les Belles Manières avaient tout ce qu’on recherchait : un décor qui semble vraiment différent et loin de la ruelle, un environnement urbain mais sans voiture qui passent, et une proximité immédiate avec le local matériel et la ruelle Pinon. On a juste bloqué l’accès au parking la nuit et on avait réservé quelques places de parking pour donner de l’espace autour d’Emi.

    "Le Covid-19 a pas mal chamboulé mes plans"

    BBB – Peux-tu nous parler des personnes et notamment des acteurs qui t’ont accompagné dans ce projet.
    AP – Ici aussi, c’est des habitués. C’est mon deuxième tournage avec Nicolas Buchoux (Tom), que vous avez pu voir dans Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ? Il est très pointilleux. Au café, avant le tournage, j’ai du lui mimer avec les doigts les déplacements de caméra du plan séquence. Et presque chaque plan du film. C’est rare de rencontrer des comédiens aussi précis. Amélie Ressigeac (Emi), était avec moi au CLCF (Conservatoire Libre du Cinéma Français). Elle avait tourné dans mes deux premiers courts. Depuis elle s’est reconvertie et travaille désormais avec les enfants. On a profité de sa maternité toute récente pour l’écriture du personnage. C’est également la conjointe de Yann Tribolle (qui a travaillé entre autres avec Mathieu Kassovitz sur L’ordre et la Morale), mon chef op binôme depuis de nombreuses années. On faisait d’une pierre deux coups. Jérôme Godgrand, (Émilien) c’est mon troisième court métrage avec lui. Il tourne vraiment pas mal en ce moment. Tu l’as surement vu dans la dernière pub Ikea à la TV. Je suis amoureux de lui. Il a une façon tellement incroyable de donner de l’épaisseur à ses personnages. Il fourmille d’idées : c’est lui qui a proposé le couteau par exemple. Les peluches, c’est Rodrigue (un jeune des Prospecteurs) et Hassan (un pote réal du CLCF qui voulait donner un coup de main et assister au tournage). Vu que je suis lancé, je tiens aussi à mentionner Sarah Wagner (rédactrice à Canal+), ma coscénariste depuis l’école, qui est toujours d’une aide précieuse quant à la direction d’acteurs et à tous les petits détails que je ne vois pas forcément au milieu du chaos. Julie Gobiet (Golden Moustache), ma première assistante réal, est responsable de l’organisation aux petits oignons et de la fin de tournage presque dans les délais. Pierre Sweiker et Philippe Benoist, fidèles parmi les fidèles, au son. Philippe a même assuré la musique et le sound design, qui était super fun à faire. Le seul nouveau, Samuel Vergnaud, le maquilleur, a permis au plan séquence d’exister grâce à sa dextérité incroyable. Et bien sûr, tous les jeunes des Prospecteurs.

    BBB – Être récompensé comme meilleur réalisateur c’est prouver que l’on a univers artistique qui est déjà là. Comment pourrais-tu définir le tien ? Et as-tu des figures du cinéma qui t’ont inspiré ?
    AP –
    Ce que j’aime, c’est partir du réel, d’un ancrage social fort et progressivement glisser vers le genre. Là, c’est très court, très sensoriel. L’histoire est vraiment racontée par l’image, les couleurs, l’ambiance sonore... Le principe même d’Emi justifiait cette esthétique vaporeuse, évanescente... J’aime beaucoup le sensoriel c’est vrai. L’impact de l’image, du raccord, du hors champ, sur le spectateur. J’aime le mouvement, la fluidité, le défi technique, la puissance évocatrice de l’image.  J’aime quand il se passe plein de trucs, partout, tout le temps, avec une narration en engrenage. Pour les figures de cinéma, je ne vais pas être très original : comme beaucoup de réals de ma génération, Spielberg, Tarantino, Fincher et Cameron ont abreuvé notre cinéphilie. Aujourd’hui, j’adore Denis Villeneuve, Nolan, Cuaròn et Del Toro. Des mecs qui parlent d’abord à nos sens en fait, qui pensent qu’une image vaut mille mots.

    BBB – Quels sont tes projets pour cette année ? Des courts-métrages ? Un long-métrage en préparation peut-être ?
    AP – Le Covid-19 a pas mal chamboulé mes plans. Avec Sarah, nous avons été sélectionnés pour la prestigieuse compétition Création du Festival des Scénaristes de Valence pour Crash, un projet de série de 8 x 52 que l’on mène depuis plusieurs années. Le Covid-19 a annulé le festival. J’essaye aussi de me faire produire Bonne Année, mon prochain court, beaucoup plus gros que celui-ci. Dedans, il y aura aussi une séquence de nuit dans une ruelle et un très long plan séquence. Emi est un peu la démo de Bonne Année. Et puis, Emi se balade un peu partout en festival. En trois mois, une douzaine de sélections sont confirmées. J’espère voir un peu de pays dans les prochains mois en festival et, pourquoi pas, il n’est pas interdit de rêver, rencontrer mon producteur de demain.

    BBB – Pour terminer, en cette fin de confinement, comment s’est passé le tien ? Est-ce que tu l’as bien vécu ?
    AP – Je suis confiné à Paris avec ma copine, podcasteuse. On a l’habitude de travailler de chez nous donc on n’est pas tellement chamboulé. Je t’avoue que ma créativité n’est pas au top en ce moment. C’est en partie dû à la déception de l’annulation de Valence. Avec Sarah, nous avons néanmoins finalisé le dossier de Crash, j’ai réécrit Bonne Année et je continue d’envoyer Emi, en festival. Sinon, pour la rubrique insectes : on a eu des punaises de lits, des souris et des fourmis. Nous avons donc eu un confinement très animé où la solitude n’a que peu régnée. Accessoirement, j’ai rattrapé un retard fou en matière de séries et de films. Je voulais lire des livres aussi… Ils sont encore sur l’étagère. Je devais finir ma bande démo. Je crois que je vais m’y remettre, tiens.

    Merci, Arnaud.

    Emi, court métrage d’Arnaud Prochasson, avec Nicolas Buchoux, Jérôme Godgrand, Amélie Ressigeac, Rodrigue Staub et Hassan Benali, France, 2010, 3 mn 39
    https://www.facebook.com/arnaud.prochasson
    https://vimeo.com/368991314/eab362577a
    ITW "Arnaud Prochasson primé à Varese", La Gatinaise WebTV

    Voir aussi : "Emi primé au Viff"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

  • Avez-vous pensé aux masques de… La Brodeuse Masquée ?

    La Brodeuse masquée, il en avait été question sur Bla Bla Blog bien avant cette période de crise sanitaire.

    Cette artiste hors-norme et géniale s’est illustrée dans une pratique a priori très sage : la broderie. Mais chez elle, pas de créations gentillettes ou classiques, de paysages de montagnes dignes de figurer sur un calendrier de La Poste, de compositions florales que votre grand-mère adorerait ou de chatons tout mignons.

    Non : ce qui intéresse la Brodeuse Masquée ce sont des œuvres au point de croix volontairement provocatrices avec des citations, des insultes et des coups de colère qui claquent comme des slogans. Notre artiste s’inspire surtout de faits divers sordides (l’assassinat du petit Grégory, les meurtres de Francis Heaulmes, l’affaire Omar Raddad ou le scandale Patrick Dills) pour des œuvres à l’humour noir garanti.

    En cette période de confinement – et de futur déconfinement –, la question du masque est omniprésente. Or, la Brodeuse masquée propose aussi ses masques, forcément uniques : le pangolin a tous les honneurs, mais notre artiste n’oublie pas ses fondamentaux, à coup de citations détournées ("Omar m’a tuer", "Nous sommes en guerre" ou le désormais célèbre "Restez chez vous"). L’utilisateur pourra même adresser, via ces masques, des messages bien sentis à son entourage. De quoi susciter la jalousie, l’envie, voire la rancune de vos voisins. Comme on voudra.

    La Brodeuse masquée
    https://www.facebook.com/labrodeusemasquee
    @labrodeusemasquee

    Voir aussi : "La brodeuse masquée a encore frappé"

    broseuse masquée,broderie,points de croix,confinement,confiné,déconfinement,masque,coronavirus,covid-19,petit grégory,omar raddad,francis heaulmes

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

  • La musique ne s’arrête jamais avec Renaud Capuçon

    C’est l’un des artistes les plus actifs en cette période de confinement. Et aussi un de ceux qui met le plus à l’honneur le classique.

    Depuis le début de cette drôle de période, le violoniste propose de chez lui une pièce de musique : Bach, Mozart, Haendel et même… Stéphane Grapelli.

    Le classique et la musique ne s’arrêtent jamais, même en présence d’un virus made in China. Rendez-vous donc tous les jours sur le compte Twitter de Renaud Capuçon.

    Renaud Capuçon sur Twitter
    @RCapucon
    https://www.renaudcapucon.com

    Voir aussi : "Confinement live stream de Lise de la Salle"

    renaud capuçon,violon,confiné,confinement,covid-19,coronavirus

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !