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Bla Bla Blog

  • Comme dans un rêve

    Chef d’œuvre de David Lynch, Mullholland Drive, sorti en 2001, figure pour beaucoup de critiques comme l’un des 10 meilleurs sinon le meilleur film de ce début du XXIe siècle. Inimitable, surréaliste, au scénario sophistiqué et malin, esthétiquement magnifique, sans compter la musique d’Angelo Badalamenti, le compositeur fétiche de Lynch.

    Mulholland Drive est une vraie expérience de cinéma qu’un premier visionnage peut désarçonner. Quitter le film avant la fin condamne le spectateur à passer à côté d’une histoire à la fois bouleversante et pathétique.   

    Sur les hauteurs de Mulholland Drive, une limousine se fait arrêter par une voiture d’où sortent des malfrats. Leur cible est la passagère, Rita, en tenue de soirée. Elle échappe aux hommes de main grâce à un accident opportun. En fuite, elle trouve son salut en se réfugiant dans une maison désertée par sa propriétaire. La lumineuse Betty, venue tenter sa chance à Hollywood, débarque quelques heures plus tard dans la grande demeure que lui a prêtée sa tante. Betty propose son aide à Rita qui est devenue amnésique suite à l’accident. Dans le même temps, Betty tente sa chance dans la ville du cinéma. 

    Un couple d’actrices Naomi Watts / Laura Harring devenu légendaire

    Le spectateur doit accepter de se laisser guider par un David Lynch qui n’a sans doute jamais été aussi inspiré. Pendant les trois premiers quarts d’heures du film, les événements se succèdent, tour à tour grotesques, surréalistes (la scène du monstre sur le parking d’un bar) tragiques et surprenants. Les personnages secondaires sont à l’avenant, à commencer par le réalisateur falot Adam (Justin Theroux) ou la sympathique Coco qui a droit à un traitement différent dans le dernier quart d’heure du film.

    Chaque visionnage du film permet de s’arrêter sur des détails – qui n’en sont pas – et des scènes a priori anodines : la scène du café trop amer, le casting de Betty, celle des tueurs à gage maladroits ou encore l’apparition du monstre, l’une des plus marquantes sans doute dans la carrière de Lynch.

    Et puis, il y a ce couple d’actrices, Naomi Watts et Laura Harring, devenu légendaire. Naomi Watts en particulier livre une interprétation formidable en incarnant une femme aux différents visages.

    Pour toutes ces raisons, Mulholland Drive est un chef d’œuvre à voir, revoir, re-revoir, et cetera. 

    Mulholland Drive, thriller indépendant américain de David Lynch, avec Naomi Watts, Laura Harring,
    Justin Theroux et Ann Miller, 2001, Studiocanal, Les Films Alain Sarde, DVD, 146 mn

    https://www.arte.tv/fr/videos/037068-000-A/mulholland-drive
    https://www.canalplus.com/cinema/mulholland-drive/h/40659667_50889

    Voir aussi : "Insensé"

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  • Peut-on vivre au présent ?

    Le Café philosophique de Montargis donne rendez-vous à la Médiathèque de Montargis le vendredi 28 mars 2025 à 19 heures pour sa nouvelle séance qui aura pour thème cette question : "Peut-on vivre au présent ?"

    L’expression "Carpe diem" du poète romain Horace invitait à ne se soucier que du présent. Une recommandation qui a traversé les siècles jusqu’à notre époque nous invitant au lâcher-prise et à jouir du présent. Le "carpe diem" a même sa journée nationale !

    Alors que de nombreux philosophes se sont intéressés au temps, la première interrogation est de savoir si le temps existe ou s’il n’est qu’une notion évanescente. Dans ce cas, comment profiter de ce présent et comment "le vivre" ? Qu’est-ce que cela peut nous apporter ? Devoir vivre au présent pour échapper au passé fini et à l’avenir incertain n’est-ce pas au contraire nous apporter une contrainte ? En quoi le passé et l’avenir seraient-ils à fuir absolument ?

    Ce seront autant de points et de questions qui pourront être débattus lors de cette séance. Rendez-vous donc à l’Atrium de la Médiathèque de Montargis le vendredi 28 mars 2025 à 19 heures.

    La participation sera libre et gratuite.  

    "Peut-on vivre au présent ?"
    Médiathèque de Montargis
    Vendredi 28 mars 2025, 19H
    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com
    https://www.facebook.com/cafephilosophique.montargis

    Photo : Pexels – Ozan Çulha

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  • 1842, année romantique

    "1842" aurait pu être le titre du dernier coffret de b.records, Collection Schumann. Cet enregistrement consacré à la musique de chambre de Robert Schumann s’intéresse à quatre œuvres de jeunesse du compositeur allemand. Nous sommes en 1842 et Schumann ne s’est pas encore essayé aux quatuors, se limitant surtout à des opus pour piano et voix. Cette année 1842 entre dans l’histoire de la musique romantique.

    L’enregistrement proposé est la captation d’un concert donné par le Quatuor Strada à l’Auditorium de la Cité de la Musique et de  la Danse à Soissons, les 3 et 19 avril 2024. Le Quatuor réunit Pierre Fouchenneret et Ayako Tanaka au violon, Lise Berthaud (alto) et François Salque (violoncelle).

    Ce coffret Robert Schumann débute avec le 1er Quatuor à cordes op. 41 dont l’introduction soyeuse et vibrante annonce un mouvement harmonique et harmonieux, mais non sans l’expressivité romantique de Robert Schumann (Andante expressivo) ni une allégresse certaine (Allegro). Écrit en 1842 (Robert Schumann a 32 ans), ce Quatuor op.41 illustre l’état d’esprit de son auteur. Il vit une période heureuse, ce qu’illustre encore le deuxième mouvement Scherzo – Presto – Intermezzo vivifiant auquel s’attaque le Quatuor Strada avec enthousiasme. Même l’Adagio n’est ni triste ni funèbre. Mélancolique et beethovénien, il ressemble à une douce déclaration d’amour. Le Presto, vif comme un torrent sauvage, vient conclure un premier Quatuor typique de cette année 1842 placée sous le signe de la musique de chambre schumanienne.

    Toujours en 1842, le compositeur allemand écrit son deuxième Quatuor à cordes op. 41. L’Allegro vivace a la légèreté de ces œuvres insouciantes. Le Quatuor Strada s’y promène avec une bonheur. Le charme de l’Andante quasi variazioni réside dans sa manière d’avancer pas à pas, avec un sorte de nonchalance joueuse. Le mouvement suivant, Scherzo – Presto, le plus court de ce coffret, garde cette insouciance et cette joie de vivre, si caractéristique de la musique de chambre schumanienne de cette période. Tour aussi alerte, l’Allegro molto vivace vient clore le Quatuor à cordes n°2 ainsi que le premier CD du coffret.

    "Ils me ravissent jusque dans le moindre détail"

    Le 3e Quatuor à cordes commence par une somptueuse déclaration d’amour tout en romantisme. N’est-ce pas à Robert Schumann amoureux – de Clara Wieck, future Madame Schumann – dont nous avons à faire dans le premier mouvement Andante ? Les frères Fouchenneret précisent d’ailleurs dans le livret que le trio de quatuors ont été offerts à la musicienne et compositrice pour ses 23 ans qui a su apprécier la valeur de cette création : "Ils me ravissent jusque dans le moindre détail", lui dit-elle. Pour l’Assai agitato, Robert Schumann semble se démultiplier dans une partie virtuose, enlevée et à la construction savante. On se pose sur l’Adagio, plus sobre avant un Finale Allegro molto vivace, enlevé, capricieux et joueur, mais non sans élan amoureux et romantique, avec une ligne mélodique irrésistible.

    Le Quintette pour piano et cordes op. 44 vient compléter ce programme. Théo Fouchenneret au piano rejoint son frère Pierre, toujours avec le Quatuor Strada. Composé lui aussi en 1842, le Quintette en mi bémol majeur est devenu un des exemples les plus éclatants de la musique romantique, suscitant d’ailleurs l’admiration, entre autres, de Wagner himself. L’Allegro est "brillante", mené tambour battant grâce notamment au piano de Théo Fouchenneret. Arrêtons-nous un instant sur le second mouvement In modo d’una marcia, un poco largamente. C’est tout le génie de Schumann qui s’exprime dans cette partie plus sombre – sinon funèbre – et dans lequel le compositeur sort des sentiers battus. Le romantisme se pare de modernité dans ce séduisant et frappant mouvement nimbé de mystères, comme annonciateur de sombres dangers. Avec le Scherzo Molto vivace, c’est un Schumann jeune et alerte qui s’exprime dans un mouvement relativement court, et en tout cas efficace. Le Quintette et le coffret se termine avec un Finale allegro ma non troppo au solide tempérament. Il vient clore une œuvre essentielle chez Schumann et, par là, une année 1842 à marquer d’une pierre blanche.  

    Robert Schumann, Quatuors et quintette pour piano et cordes,
    Quatuor Strada et Théo Fouchenneret, b•records, 2025

    https://www.b-records.fr
    https://www.theofouchenneret.com
    https://pierrefouchenneret.com/quatuor-strada

    Voir aussi : "Romantique et métaphysique Schumann"

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  • Black Dog

    Les Cramés de la Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film Black Dog. Il sera visible du 19 au 25 mars 2025. Soirée débat à l’Alticiné le mardi 25 mars à 20H30.

    Lang revient dans sa ville natale aux portes du désert de Gobi. Alors qu’il travaille pour la patrouille locale chargée de débarrasser la ville des chiens errants, il se lie d’amitié avec l’un d’entre eux. Une rencontre qui va marquer un nouveau départ pour ces deux âmes solitaires.
    Prix Un Certain Regard, Festival de Cannes 2024

    Black Dog, drame chinois de Hu Guan avec Eddie Peng, Liya Tong, Jia Zhang-ke, 2025, 110 mn
    Titre original Gou Zhen
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1527
    https://trigon-film.org/fr/films/black-dog

    Voir aussi : "When the Light Breaks"

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  • Que devient Andrea Ponti ?

    On ne peut pas rester insensible à Andrea Ponti – à son univers, à sa voix et à ses confessions. Elle nous revient avec son dernier single, Va vis et deviens.

    C’est à elle-même qu’elle s’adresse, ou plutôt à la jeune fille qu’elle était quelques années plus tôt : "Je relis mon journal intime / Et j’intime à celle qui se dessine / D’être celle qu’elle a rêvé. / Il n’y a que toi qui sais / Quel est ton avenir".

    Crois en tes rêves, crois en toi, impose-toi et va de l’avant, chante-t-elle à l’Andrea de ses jeunes années. "Ces mots sont pour toi, / Toi, l’Andrea, / Toi dont les ailes n’étaient pas déployées". Ou pas encore, en tout cas. 

    Andrea Ponti se confie sans fard, avec tendresse. La simplicité au service d’un joli message d’encouragement pour l'enfant qu'elle était et qui était pleine de rêves. 

    Andrea Ponti, Va vis deviens, 2025
    https://www.instagram.com/andreaponti_off
    https://www.facebook.com/andreaponti.off
    https://www.youtube.com/c/AndreaPonti_off

    Voir aussi : "Andrea Ponti : 'Aujourd’hui, nos retrouvailles sont une évidence'"
    "Regarde Andrea Ponti"

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  • Où sont les monstres ?

    En 2018, le premier tome de Moi, ce que j’aime c’est les monstres (éd. Monsieur Toussaint Louverture), d'une presque inconnue, Emil Ferris, faisait une entrée fracassante dans la bande dessinée. "Chef d’œuvre", "Une des plus grandes artistes de notre temps". Un choc culturel aussi remarquable que le dessein de la créatrice elle-même.

    Dessinatrice installée, Emil Ferris voit sa vie chavirer en 2002, à l’âge de 40 ans, lorsqu’elle se fait piquer par un moustique pour ne reprendre ses esprits que trois semaines plus tard. Victime du Syndrome du Nil Occidental dans sa forme la plus grave, les médecins estiment qu’elle ne pourra plus marcher ni tenir un crayon. Elle se bat pourtant, allant jusqu’à scotcher un stylo à sa main. Mieux, elle se lance dans un roman graphique dessiné au stylo à bille. Beaucoup d’éditeurs snobent cette œuvre incroyable, le premier volume de Moi, ce que j’aime c’est les monstres. À sa sortie, le succès est là, critique et public. Sept ans plus tard, en 2024, sort enfin le deuxième tome de cet opus hors-norme, dans tous les sens du terme.

    Sur les 800 pages de l’œuvre d’Emil Ferris, il est bien entendu question de monstres, narrés précisément par une monstre. Elle se nomme Karen Reyes et vit à Chicago à la fin des années 60 entre une mère aimante et à la forte personnalité et un frère dessinateur toujours abonné aux mauvais coups. Karen se réveille un matin en loup-garou, une nouvelle condition fort déplaisante et suscitant évidemment les moqueries de ses camarades et son exclusion. Lorsqu’un matin sa voisine Anka Silverberg est retrouvée morte d’un coup de pistolet, Karen se mue en détective privée. Elle découvre grâce à son enquête que les monstres ne sont pas forcément ceux que l’on croit.

    Opus hors norme... Graphiquement, cette œuvre en deux tomes est une merveille

    Qui sont les monstres ? Voilà la question rythmant les deux tomes du roman graphique d’Emil Ferris – en attendant sans doute un troisième volume. Karen, attachante adolescente, bringuebalée entre une mère traditionnelle et Deeze, son frère aux mauvaises fréquentations  mais qui n’en est pas moins aimant pour sa jeune sœur.

    Dans cette bande dessinée (pardon, ce roman graphique), la narratrice alterne les époques et les intrigues, du Chicago de la fin des années 60, avec la Guerre du Vietnam et la contestation sociale en toile de fond, à l’Europe des années 30 et 40. Anka, l’étrange voisine, qui a aussi connu une courte relation avec Deeze, est à la fois le double de Karen et le fil conducteur d’un récit riche et baroque. S’y mêlent l’art, la violence, les secrets de famille et les monstres, qu’ils soient incompris, terribles, doux ou méchants. Emil Ferris suit le parcours d’Anka, fille abandonnée, tombée dans la prostitution dans le Berlin des années 30, jusqu’au fin fond de la monstruosité, dans un camp de la mort.

    Graphiquement, cette œuvre en deux tomes est une merveille. Pas une page ne ressemble à l’autre. Les inventions visuelles de l’auteure son innombrables, constatation d’autant plus remarquable que le premier tome a été écrit alors qu’Emil Ferris n’était pas à 100 % de ses capacités, loin s’en faut. Le deuxième tome suit la même veine. On sent la main de la dessinatrice plus assurée, ce qui ne l’empêche pas de faire montre d’autant de maestria que pour le premier volume. Une œuvre monstrueuse, à plus d’un titre, qu’il faut absolument avoir chez soi.      

    Emil Ferris, Moi, ce que j’aime c’est les monstres, 2 vol.,
    éd. Monsieur Toussaint Louverture, 2018 et 2024, 416 p. par vol.

    https://www.monsieurtoussaintlouverture.com
    https://www.instagram.com/emilferris

    Voir aussi : "Tintin, retour aux sources"

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  • Emmanuel Mounier honoré par la philatélie à l’occasion de "son" année

    Saluons l’initiative de La Poste qui choisit de rendre hommage à un très grand – et trop, discret – philosophe, Emmanuel Mounier. 2025 marque le 120e anniversaire de sa naissance. C’est l’occasion pour La Poste d’émettre un timbre à son effigie.

    Emmanuel Mounier est né à Grenoble le 1er avril 1905 de parents modestes d’ascendance paysanne. Après des études de philosophie avec Jacques Chevalier, auteur notamment des Entretiens avec Bergson, Emmanuel Mounier poursuit à Paris sa préparation à l’agrégation de philosophie qu’il obtient en 1928, à l’âge de 23 ans.

    La découverte de la pensée de Charles Péguy le conduit à renoncer à une carrière universitaire toute tracée et l’amène à fonder, avec quelques amis, la revue Esprit en 1932, revue internationale et laboratoire d’idées.

    Exemplaire dans une existence marquée par ses convictions sur l’humanisme, le suivi de ses convictions et le sens aigu de son analyse du monde contemporain, il participe jusqu’à sa mort, le 22 mars 1950, à tous les engagements qui ont marqué la France et le continent européen : la dénonciation des accords de Munich, la défense de la République espagnole, la Résistance, la condamnation de l’oppression coloniale, la participation à la construction européenne.

    Emmanuel Mounier méritait largement d’être honoré pour ses engagements

    Timbre Emmanuel Mounier
    Portrait de René ICHÉ
    Impression : héliogravure Format du timbre : 30 x 40,85 mm
    Présentation : 15 timbres à la feuille Tirage : 702 000 exemplaires
    Valeur faciale : 1,39 € Lettre Verte
    Conception graphique timbre à date : Ségolène Carron
    Le timbre sera vendu en avant-première les vendredi 21 et samedi 22 mars à Grenoble, Bureau de Poste, le vendredi 21 mars de 10h à 12h et de 14h à 17h et le samedi de 9h à 11h, 12 rue de la république et à Paris, Le Carré d’Encre, de 10h à 19h, 13 bis rue des Mathurins (Oblitération jusqu’à 17h).
    https://www.laposte.fr/boutique
    https://www.lecarredencre.fr

    Voir aussi : "Astérix collable"

    Ill. mise en page Ségolène Carron. Timbre oeuvre de René Iché, Portrait d'Emmanuel Mounier, 18 janvier 1947
    © Adagp, Paris, 2024, d'ap. photo fonds AAEM

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  • Made in Japan à Orléans

    Cette année, la Foire Orléans est placée sous le signe du Japon. Une idée bienvenue, tant le Pays du Soleil Levant a le vent en poupe dans notre pays.

    Cette nouvelle édition se construira autour de trois axes majeurs : des espaces thématiques innovants, une immersion dans la culture japonaise et des partenariats renforcés avec les acteurs locaux.

    Du 21 mars jusqu’au 30 mars, au Co’Met, la Foire orléanaise se parera donc de kimonos pour proposer immersion 1400 m² d’exposition : culture, art, animations, architectures, jardins et bien sûr mangas seront au rendez-vous. Mieux, le Co’Met proposera un voyage immersif dans quartier de Kyoto, capitale impériale du Japon avant que le pays ne décide, au milieu du XIXe siècle, de s’ouvrir au reste du monde et d’établir le centre du pouvoir à Tokyo, un port par lequel afflueront les idées et les technologies de l’Occident.

    La Foire d’Orléans proposera également un Jardin, intérieur et extérieur, de 400 m², avec une foire aux plantes le premier week-end (22 et 23 mars).

    En dehors de ce voyage nippon,  d’autres pôles seront proposés – Pôle Mieux Vivre et S’informer, La Rue des Commerçants du Centre-Ville, Pôle Tourisme, Pôle Innovations – contribuant, avec plus de 200 stands, à faire de cette Foire d’Orléans a plus grande boutique éphémère de la région.

    Foire d’Orléans 2025, CO’Met, du vendredi 21 au lundi 30 mars 2025
    https://www.foirexpo-orleans.fr
    https://www.facebook.com/gl.orleansevents/?locale=fr_FR
    https://www.instagram.com/gl.orleansevents

    Voir aussi : "Les Soignantes à Olivet"

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