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• • Vie et ville de Montargis - Page 10

  • Le Top 10 de Bla Bla Blog pour 2015

    Les fins d'année sont propices aux bilans de tout genre. À mon tour, je voulais conclure cette année 2015 par un point sur une année pleine pour ce blog. 125 articles ont été publiés cette année : livres, cinéma, télévision, musique et philosophie ont été les principaux thèmes abordés. Plusieurs posts sont sortis du lot, de par les réactions qu'ils ont suscitées (messages, commentaires, likes sur Facebook ou retweets). Voici le top 10 de ces articles.

     10  Montargis la Chinoise

    Cette série d'articles retrace l'aventure chinoise d'une modeste sous-préfecture du Loiret, Montargis, devenue, grâce aux hasards de l'Histoire, et à quelques jeunes hommes ambitieux et enthousiastes (dont Zou Enlai et surtout Deng Xiaoping) , la ville qui a vu naître la Chine communiste au début des années 1920. Une histoire étonnante et passionnante.

    Extrait : "Pourquoi Montargis est-elle la plus chinoise des villes françaises, au point d'être reconnue jusqu'à Pékin ?
    Un visiteur qui débarque dans cette modeste sous-préfecture du Loiret pourrait être étonné par des plaques touristiques en français et en mandarin, disséminés dans différents endroits de la ville, balisant un parcours touristique consacré à ce pays lointain...
    " (la suite ici)

     9  Spéciale Stanley Kubrick

    Je publiais en début d'année une série de 10 articles consacrés au réalisateur américain Stanley Kubrick. Outre une biographie de l'auteur, plusieurs posts étaient consacrés à quelques-uns de ses plus grands films (2001 L'Odyssée de l'Espace, Shining, Eyes Wide Shut, Barry Lyndon) ainsi qu'à un focus sur Kubrick et la musique.

    Extrait : "Stanley Kubrick naît le 26 juillet 1928 à New-York dans une famille de la petite bourgeoisie du Bronx. Élève moyen timide mais néanmoins d’une très grande curiosité, il se destine très jeune à la photographie, domaine où il exerce son premier métier à 17 ans dans la revue Look, luxueux magazine concurrent de Life.
    Cette première expérience sera décisive dans sa future carrière de cinéaste. Dès sa toute première création, un reportage photographique sur le boxeur Walter Cartier (
    Le Boxeur professionnel, 18 janvier 1949), le jeune Stanley Kubrick démontre déjà un grand sens du cadrage et de la lumière..." (la suite ici)

     8  Cléo ou de jolis débuts (les filles ça pleure sous vent)

    Cléo publie ses textes – poésie, haïkus, calligrammes ou aphorismes – sur Twitter (pour l'instant ?). L'article que je lui ai consacré a reçu un joli écho sur le réseau social où elle publie principalement. Une auteure à découvrir de toute urgence.

    Extrait : "C'est par hasard que j'ai découvert La PoésieDeCléo, sur son compte Twitter @nothingbut66. L'artiste est également active sur Instagram.
    Il est de notoriété que l'Internet, et en particulier les réseaux sociaux, sont un vivier intarissable d'expressions artistiques.
    Le compte de Cléo (impossible de nommer autrement cet artiste bien mystérieuse qui a pris pour pseudonyme le nom d'une des neuf Muses) offre le meilleur d'un genre dénigré par le milieu éditorial traditionnel : la poésie.

    Au fil des jours, voire des heures, et ce depuis 2011, l'auteure publie textes courts ("J'ai mis du rouge à lèvres Du noir à mes genoux Et puis des bottes Pour sauter dans les flaques"), haïkus, calligrammes ou aphorismes ("Je Tu Elle Les conjugaisons sont mortelles")..." (la suite ici)

     7  Une partie de football contre le djihadisme 

    Quelques jours après les attentats de novembre à Paris, ce focus sur la bande originale du film Timbuktu était une manière de traiter d'un événement capital de notre actualité.

    Extrait : "Le cinéma français consacrait cette année le film Timbuktu d'Abderrahmane Sissako, bouleversant tableau d'un village malien écrasé par l'Islam radical.
    Pour traiter du djihadisme international avec une telle puissance et une telle justesse, il fallait une musique à la hauteur..."

    (la suite ici)

     6  Escroc, gourou et artiste 

    Je consacrais, le 19 décembre dernier, un article au sujet de l'enquête qu'a menée Bernard Hasquenoph, journaliste et bloggeur, sur le photographe, milliardaire, gourou et escroc Aahe. Un reportage exemplaire qui est aussi un coup de gueule contre des institutions culturelles imbues d'elles-mêmes et se croyant intouchables. 

    Extrait : "Le crime pourrait-il réellement être considéré comme un des beaux-arts, pour reprendre le roman de Thomas de Quincey ? Il semblerait en tout cas qu'il ait sévi impunément dans les plus grands sites culturels du monde, au su et au vu de beaucoup de spécialistes. C'est le journaliste Bernard Hasquenoph, journaliste et bloggeur pour Le Louvre Pour Tous, qui a mis fin à une escroquerie artistique qui aurait pu rendre chèvre encore quelques années le microcosme feutré des musées..." (la suite ici)

     5  Les super prouesses de SuperFeat 

    Un coup de projecteur mérité sur l'illustratrice et animatrice Superfeat. Un style inimitable, de l'humour (noir), un univers poétique et surréaliste. À découvrir absolument !

    Extrait : "Quelque part, entre Pierre de la Police et Topor, vit SuperFeat, une jeune illustratrice, graphiste et animatrice qui se serait nourrie de films de David Lynch, de poèmes dadaïstes et de bandes dessinées de Joann Sfar pour créer un univers surréaliste, poétique, déjanté, sexy et bourré d'humour noir (voir aussi ce texte de Superfeat publié sur ce blog, avec l'aimable autorisation de l'auteur).
    Comment reconnaît-on la marque d'un véritable artiste ? Sans doute à ceci : qu'il puisse être immédiatement reconnaissable par le public et qu'il ait la capacité de nous aimanter..."
    (la suite ici)

     4  Random : Que personne ne sorte

    Ce post, publié le 3 décembre 2015, était consacré à la webserie française Random. La saison 1 s'est achevée, récompensée par une pluie de récompenses internationales ainsi que par une diffusion en replay sur la première chaîne française. Une révélation qui vient à point nommer alors que les séries françaises ont la réputation d'être des peines-à-jouir ! Une saison 2 est en préparation pour 2016.

    Extrait : "Une fois n'est pas coutume, TF1 se distingue dans sa programmation en proposant Random, l'une des séries françaises les plus originales du moment.
    Ne cherchez cependant pas cette fiction sur la TNT. Cette production originale a eu l'exclusivité de Mytf1.fr. C'est mieux que rien, me direz-vous, la chaîne commerciale n'étant sans doute pas prête à troquer quelques épisodes de Joséphine Ange Gardien contre une production ambitieuse ou innovante..." (la suite ici)

     3  42 heures pour un court : la jeunesse, la comédie et l'audace récompensées

    Membre du jury 2015 du festival de court-métrage de Montargis "42 heures pour un court", j'ai été aux premières loges pour témoigner de la qualité d'une programmation. Dans le bilan que je fais de cette édition, je saluais les trois films couronnés, trois œuvres drôles, culottées et réalisées par de jeunes artistes plein d'avenir.

    Extrait : "Ce week-end avait lieu la 9e édition de 42 heures pour un Court. J'avais l'honneur de faire partie du jury de ce "triathlon vidéo", en compagnie de Jean-François Szczepanek, Anne-Lise Gaudichon, Françoise Pastor Strazzieri et Anne Berrou. Rémi Julienne est le parrain de ce festival de court-métrage. Neuf équipes (sur les dix engagées) avaient 42 heures pour écrire, réaliser et monter un court-métrage de 5 à 9 minutes, à partir de contraintes exigées par les organisateurs. Cette année, les concurrents avaient le choix entre quatre thèmes imposés : le harcèlement moral au travail, le mariage pour tous, l'économie de partage et le recul de l'âge de départ à la retraite. Neuf lieux de tournage à Montargis étaient également imposées et tirées au sort..." (la suite ici)

     2  Le Globecroqueur en Iran 

    Ce guide de voyage du Globecroqueur, alias Philippe Bichon, retrace un voyage hors du commun en Iran, loin des clichés sur ce pays dont nous abreuve l'actualité internationale. L'auteur et dessinateur nous dévoile un pays légendaire, attachant et fascinant, sans nous cacher toutefois les travers d'une république islamique corsetée par les interdits religieux. Un carnet de voyage richement illustré qui donne envie de faire son sac à, dos et de filer découvrir ce pays qui reste le berceau de notre civilisation.

    Extrait :  "Amateurs de guides de voyage, ce carnet de route sur l'Iran est pour vous.
    Un voyage en Iran, dans le pays des ayatollahs, de la puissante République islamique chiite : étrange destination, me direz-vous. C'est pourtant ce qu'a entrepris Philippe Bichon, qui se surnomme lui-même le Grobecroqueur (il est l'auteur de plusieurs guides en Égypte-Syrie, en Inde et au Tibet).
    Pourquoi l'Iran ? Alors que vient de se terminer une des plus longues batailles diplomatiques de ces dernières années, l'accord sur le nucléaire iranien, l'ancien royaume perse est en passe de s'ouvrir au monde, via notamment le tourisme..
    ." (la suite ici)

     1  Voilà Marie

    C'est l'article phare de cette année, et sans doute aussi celui qui me tient le plus à cœur, tant les chansons de Marie Cherrier m'ont accompagné depuis plusieurs années. Une première place sans surprise et méritée pour l'une des plus belles voix actuelles de la chanson française.

    Extrait : "Puisque l'on est entre nous, je dois vous avouer que Marie Cherrier fait partie depuis longtemps des auteurs dont je voulais parler sur ce blog. Elle est ce genre d'artiste qui vous accompagne des années durant, offrant une présence rassurante et revivifiante. Voilà donc cet article, voilà Marie, alors que sort en ce moment son quatrième album studio, L'Aventure.
    Comment pourrait-on ne pas l'aimer, elle, son opiniâtreté à creuser son sillon artistique, son sens de l'écriture, ses saynètes (
    Le Curé, 7ème Ciel ou Café noir), ses mélodies et ses interprétations sensibles ?  La chanteuse poursuit son petit bonhomme de chemin, suivie par un public de fidèles..."
    (la suite ici)

  • La pauvreté est-elle le mal absolu ?

    montargis,café philo,loiretLe café philosophique de Montargis propose une nouvelle séance le vendredi 4 décembre 2015, à 19 heures, à la brasserie du centre commercial de La Chaussée. Le débat sera intitulé "La pauvreté est-elle le mal absolu ?"


    Dans un monde économique traversé de crises, la pauvreté semblerait être omniprésente et impossible à juguler. Mais qu'est-ce que la pauvreté au juste ? Comment peut-on la définir ? Le niveau de richesse est-il l'unique moyen pour la mesurer ? Quels liens les "pauvres" entretiennent-ils avec le reste de la société et avec l’État ? Peut-on parler de "culture de la pauvreté" ? La notion marxiste de "lutte des classes" est-elle obsolète ? Traiter de la pauvreté comme du mal absolu est-ce tenable ? Comment discuter de la pauvreté sous l'angle de la morale et de l'éthique ?

    Ce sont autant de points qui seront discutés et débattus le vendredi 4 décembre, à partir de 19 heures à la brasserie du Centre Commercial de La Chaussée de Montargis.

    La participation sera libre et gratuite.

    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com

  • Œil pour œil, dent pour dent

    armessen,café philo,montargis,loiretLe café philosophique de Montargis propose une nouvelle séance le vendredi 6 novembre 2015, à 19 heures, à la brasserie du centre commercial de La Chaussée. Le débat sera intitulé "Œil pour œil, dent pour dent ?" et aura pour thème la vengeance et le pardon. Pour cette séance, l'équipe du café philosophique de Montargis aura pour invitée exceptionnelle Catherine Armessen.

    Médecin et auteure de romans documentaires, celle-ci viendra discuter avec le public du café philosophique de la vengeance, au centre de son dernier roman Tu me reviendras (éd. Feuillage). La vengeance semble être omniprésente dans l'histoire de l'humanité. Quels sont les ressorts et les enjeux de ce type de comportement ? Quels éclairages la psychologie et la philosophie peuvent-elles nous apporter ? La vengeance peut-elle être réduite à une forme d'hostilité ? Qu'est-ce qui alimente le désir de se venger ? Quelle est l'utilité du pardon ? Est-il toujours possible ? 

    Ce sont autant de points qui pourront être discutés avec Catherine Armessen, le vendredi 6 novembre, à partir de 19 heures à la brasserie du Centre Commercial de La Chaussée de Montargis.

    La participation sera libre et gratuite.

    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com

     

  • 42 heures pour un court : la jeunesse, la comédie et l'audace récompensées

    presquebonneidee.pngCe week-end avait lieu la 9e édition de 42 heures pour un Court. J'avais l'honneur de faire partie du jury de ce "triathlon vidéo", en compagnie de Jean-François Szczepanek, Anne-Lise Gaudichon, Françoise Pastor Strazzieri et Anne Berrou. Rémi Julienne est le parrain de ce festival de court-métrage.

    Neuf équipes (sur les dix engagées) avaient 42 heures pour écrire, réaliser et monter un court-métrage de 5 à 9 minutes, à partir de contraintes exigées par les organisateurs. Cette année, les concurrents avaient le choix entre quatre thèmes imposés : le harcèlement moral au travail, le mariage pour tous, l'économie de partage et le recul de l'âge de départ à la retraite. Neuf lieux de tournage à Montargis étaient également imposées et tirées au sort.

    Le dimanche 25 novembre, après la projection, le jury s'est réuni pour délibérer et choisir les gagnants de cette édition 2015.

    La jeunesse, la comédie et l'audace ont été récompensées par un jury impressionné par la bonne tenue et la qualité des films proposés cette année. Aucun n'a démérité et tous ont fait preuve d'originalité. 

    Deux films sont sortis grands gagnants de cette édition, deux comédies réalisées par de jeunes, voire de très jeunes réalisateurs, qui mériteraient leur place dans des festivals nationaux sur le court-métrage. 

    Une Presque bonne Idée de Sébastien Deschamps (Rapace Prod) s'est vu récompensé du premier prix, le Chien d'Or, et d'un double prix d'interprétation féminine ex-aequo pour Audrey Baudoin et Mélanie Poiget. Cette comédie sur le covoiturage est menée tambour battant, sans fausse note, avec des trouvailles à chaque plan et une direction d'acteurs sans faille. 

    Un autre court-métrage sur le covoiturage, Co-Voit' de Vincent Cottier (Universal Arts), a reçu le prix du Chien d'Argent et un prix d'interprétation masculine pour Armand Lacroix. Le jury a salué un film au scénario simple et mené jusqu'au bout, un rôle principal particulièrement convaincant et une chute dans le dernier plan venant donner un éclairage supplémentaire à cette comédie, du reste techniquement bien maîtrisée. Co-Voit' a également reçu le prix du public. 

    Le Chien de Bronze est allé à Somnisphère de Lucile Boissier (TGCM). Ce film fort et d'une grande originalité, laisse augurer une carrière prometteuse pour la réalisatrice. Somnisphère a marqué le jury pour le choix assumé de son histoire (entre univers cyberpunk, onirisme et engagement écologique), l'originalité de traitement et la richesse des thèmes abordés. Le fait que ce court-métrage traite en filigrane d'une histoire d'amour est un atout supplémentaire pour ce film. 

    Une mention spéciale est allée au film Jusque dans tes rêves (Alexandr 2.0) pour son audace visuel, ses qualités techniques, le jeu de son actrice principale et aussi le traitement scrupuleux du thème choisi (le harcèlement moral). 

    Le jury a également choisi de décerner une mention spéciale à l'acteur Chris Surgiao pour son interprétation solide et émouvante qui a donné un éclat particulier au film Frontière (Créalid).

    Les autres films proposés, qui n'ont pas démérité, étaient : Prédateurs (Bloodhound), T'échanges, tu gagnes ou tu perds (Cinemax Romeo My Love), No Noces pour Tous (Bald and Bold) et Nina et les Garçons (Novely Studios).

    42H pour un Court : le palmarès

    Somnisphère par art-et-culture-montargis

  • Dans le jury de "42 heures pour un court"

    b57c3745bfb86d0babfc274422adca74.pngLe dimanche 25 octobre, j'aurai le plaisir de faire partie du jury du festival "42 heures pour un court", à Montargis. 

    Cette manifestation en est à sa neuvième édition. Le principe de "42 heures pour un court" (Triathlon vidéo de Montargis) est de réaliser et monter un court-métrage (de 6 à 8 minutes hors génériques) en 42 heures. Le film produit sera une œuvre originale (documentaire, art vidéo, narration, fiction, expérimental, animation, etc.) en respectant les contraintes imposées.

    Cette année, dix équipes participent cette année avec, comme tous les ans, une contrainte de lieu et un sujet au choix à traiter parmi quatre faits de société : le mariage pour tous, le recul de l'âge de la retraite, le harcèlement moral au travail et l'économie partagée (covoiturage, couchsurfing, etc.).

    La projection des courts-métrages en compétition aura lieu le dimanche 25 octobre à 15 heurs au Tivoli de Montargis. J'aurai l'honneur de faire partie du jury, en compagnie de Claire-Lise Gaudichon, Jean-François Szczepanek, Françoise Pastor-Strazzieri et Anne Berrou. Voir ce lien pour en savoir plus sur le jury de cette édition

    Bonne chance aux équipes sont en plein travail depuis le vendredi 23 octobre 2015, 19 heures.

    Art & Culture Montargis : 42 heures pour un Court

  • De quoi sommes-nous responsables ?

    Le café philosophique de Montargis fait sa rentrée le vendredi 2 octobre 2015, à 19 heures, à la brasserie du centre commercial de La Chaussée. 

    Cette 7e saison marque un virage important pour l'animation philosophique de la Chaussée, avec la création d'une équipe élargie à la tête de ce café philo, maintenant bien connu des Montargois. Le café philo ne déroge cependant pas à son objectif et à ses habitudes : proposer chaque mois, à la Brasserie de la Chaussée, un débat philosophique ouvert à tous, dans la liberté et le respect de la parole de chacun. 

    Pour cette première séance, la 51e de l'animation de la Chaussée, le sujet discuté portera autour de cette question : "De quoi sommes-nous responsables ?"

    Poser cette question n'est-ce pas s'interroger sur ce dont je ne suis pas responsable ? De quoi je parle lorsqu'il est question de responsabilité ? De moi comme sujet ? De mon histoire ? De mes passions ? De mon environnement social ? Que recouvre le champ de la responsabilité ? Quelle est la place du devoir ? La notion de responsabilité est-elle liée à celle de la culpabilité ? Peut-on parler de responsabilité collective ?

    Ce sont autant de questions qui pourront être discutés le vendredi 2 octobre, à partir de 19 heures à la brasserie du Centre Commercial de La Chaussée de Montargis.

    La participation sera libre et gratuite.

    cafephilo.montargis@yahoo.fr
    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com

     

  • Retour sur "Montargis la Chinoise"

    Retour sur une série d'articles que j'avais intitulée "Montargis la Chinoise".

    La chaîne d'info BFM a diffusé le 13 juillet dernier un reportage sur l'histoire de cette sous-préfecture du Loiret qui est considérée comme le berceau de la "Chine nouvelle".

    C'est là qu'au début du XXe siècle de jeunes Chinois, venus étudier et travailler, se sont formés politiquement et idéologiquement, au point d'imaginer la fondation d'un parti communiste dans leur pays. Parmi ces jeunes Chinois figuraient de futurs dirigeants et idéologues tels que Cai Hesen, Zhou En Lai et Deng Xiaoping.

    "Montargis la Chinoise"
    Montargis, berceau de la "Chine nouvelle", 13 juillet 2015

  • Ce n'est pas toi que j'attendais

    6008.jpgCe qui nous est raconté dans la bande dessinée autobiographique de Fabien Toulmé, Ce n'est pas toi que j'attendais, est le cauchemar de beaucoup de futurs parents : que se passe-t-il lorsque le bébé désiré naît avec un lourd handicap et marque le début d'un parcours douloureux et semé d'embûches.

    C'est l'objet de cette poignante bande dessinée dans laquelle Fabien Toulmé raconte la grossesse et surtout la naissance de Julia, née trisomique. La surprise laisse place à la colère, l'injustice, l'impuissance puis la résignation. Et au milieu de ce flot confus de sentiments (et de ressentiments), que l'auteur parvient à décrire avec justesse, commence à naître autre chose : l'amour pour une petite fille (sa petite fille), le tout sur le thème de la différence et de la compréhension.

    Une superbe aventure humaine : "Ce n'est pas toi que j'attendais... mais je suis quand même content que tu soies venue" dit le narrateur au bébé qu'il réussira finalement à "adopter"   

    Fabien Toulmé, Ce n'est pas toi que j'attendais, éd. Delcourt, 244 p., 2014
    http://fabien-t.blogspot.fr

     

    Fabien Toulmé - Ce n'est pas toi que j'attendais par Librairie_Mollat