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  • Le Festival Télérama a le plaisir de vous annoncer la naissance de son petit dernier

    20 ans, c’est l’âge pour le Festival Télérama de donner naissance à sa déclinaison cinéma pour jeune public : le Festival Cinéma Télérama Enfants. Il se déroulera du 15 au 28 février, en pleine période de vacances scolaires.
    Le principe est similaire à la version adulte : dans toute la France, 115 cinémas d’art proposeront une sélection des 14 meilleurs films pour enfants de l’année 2016, de Miss Peregrine et les Enfants particuliers à Ma Vie de Courgette, en passant par La Tortue rouge ou Le Garçon et la Bête.

    L’objectif affiché de ce nouvel événement, à destination de nos chères têtes blondes, est d’initier les enfants dès le plus jeune âge au cinéma – et au "bon" cinéma : "Le cinéma, d’animation ou pas, est vraiment une belle manière d’éduquer les jeunes et de leur apprendre à regarder le monde", dit à ce sujet le comédien et réalisateur Jérôme Elkaïm.  

    Au menu de cette manifestation : des découvertes, des voyages, des sensations, des frissons, du rire et des films, longs ou courts, pour tous les goûts.

    Le  Festival Cinéma Télérama Enfants permettra également de voir plusieurs créations en avant-première : La Jeune Fille et son Aigle d’Otto Bell (Grande-Bretagne, Mongolie, États-Unis, dès 12 ans, 85 mn), Anastasia de Don Bluth et Gary Goldman (États-Unis, dès 7 ans, 95 mn), Panique tous courts de Stéphane Aubier et Vincent Patar (Belgique, dès 6 ans, 45 mn) et Le Vent dans les Roseaux de Nicolas Liguori et Arnaud Demuynck (France, Belgique, Suisse, cinq courts-métrages, dès 6 ans, 65 mn). 

    Idéal pour occuper intelligemment pendant les vacances nos chers petits monstres.

    Festival Cinéma Télérama Enfants
    Du 15 au 18 février 2017, dans 115 cinémas d’art et d’essai dans toute la France
    http://www.telerama.fr/festivalenfants/2017

  • 42 heures pour un court : la jeunesse, la comédie et l'audace récompensées

    presquebonneidee.pngCe week-end avait lieu la 9e édition de 42 heures pour un Court. J'avais l'honneur de faire partie du jury de ce "triathlon vidéo", en compagnie de Jean-François Szczepanek, Anne-Lise Gaudichon, Françoise Pastor Strazzieri et Anne Berrou. Rémi Julienne est le parrain de ce festival de court-métrage.

    Neuf équipes (sur les dix engagées) avaient 42 heures pour écrire, réaliser et monter un court-métrage de 5 à 9 minutes, à partir de contraintes exigées par les organisateurs. Cette année, les concurrents avaient le choix entre quatre thèmes imposés : le harcèlement moral au travail, le mariage pour tous, l'économie de partage et le recul de l'âge de départ à la retraite. Neuf lieux de tournage à Montargis étaient également imposées et tirées au sort.

    Le dimanche 25 novembre, après la projection, le jury s'est réuni pour délibérer et choisir les gagnants de cette édition 2015.

    La jeunesse, la comédie et l'audace ont été récompensées par un jury impressionné par la bonne tenue et la qualité des films proposés cette année. Aucun n'a démérité et tous ont fait preuve d'originalité. 

    Deux films sont sortis grands gagnants de cette édition, deux comédies réalisées par de jeunes, voire de très jeunes réalisateurs, qui mériteraient leur place dans des festivals nationaux sur le court-métrage. 

    Une Presque bonne Idée de Sébastien Deschamps (Rapace Prod) s'est vu récompensé du premier prix, le Chien d'Or, et d'un double prix d'interprétation féminine ex-aequo pour Audrey Baudoin et Mélanie Poiget. Cette comédie sur le covoiturage est menée tambour battant, sans fausse note, avec des trouvailles à chaque plan et une direction d'acteurs sans faille. 

    Un autre court-métrage sur le covoiturage, Co-Voit' de Vincent Cottier (Universal Arts), a reçu le prix du Chien d'Argent et un prix d'interprétation masculine pour Armand Lacroix. Le jury a salué un film au scénario simple et mené jusqu'au bout, un rôle principal particulièrement convaincant et une chute dans le dernier plan venant donner un éclairage supplémentaire à cette comédie, du reste techniquement bien maîtrisée. Co-Voit' a également reçu le prix du public. 

    Le Chien de Bronze est allé à Somnisphère de Lucile Boissier (TGCM). Ce film fort et d'une grande originalité, laisse augurer une carrière prometteuse pour la réalisatrice. Somnisphère a marqué le jury pour le choix assumé de son histoire (entre univers cyberpunk, onirisme et engagement écologique), l'originalité de traitement et la richesse des thèmes abordés. Le fait que ce court-métrage traite en filigrane d'une histoire d'amour est un atout supplémentaire pour ce film. 

    Une mention spéciale est allée au film Jusque dans tes rêves (Alexandr 2.0) pour son audace visuel, ses qualités techniques, le jeu de son actrice principale et aussi le traitement scrupuleux du thème choisi (le harcèlement moral). 

    Le jury a également choisi de décerner une mention spéciale à l'acteur Chris Surgiao pour son interprétation solide et émouvante qui a donné un éclat particulier au film Frontière (Créalid).

    Les autres films proposés, qui n'ont pas démérité, étaient : Prédateurs (Bloodhound), T'échanges, tu gagnes ou tu perds (Cinemax Romeo My Love), No Noces pour Tous (Bald and Bold) et Nina et les Garçons (Novely Studios).

    42H pour un Court : le palmarès

    Somnisphère par art-et-culture-montargis

  • Dans le jury de "42 heures pour un court"

    b57c3745bfb86d0babfc274422adca74.pngLe dimanche 25 octobre, j'aurai le plaisir de faire partie du jury du festival "42 heures pour un court", à Montargis. 

    Cette manifestation en est à sa neuvième édition. Le principe de "42 heures pour un court" (Triathlon vidéo de Montargis) est de réaliser et monter un court-métrage (de 6 à 8 minutes hors génériques) en 42 heures. Le film produit sera une œuvre originale (documentaire, art vidéo, narration, fiction, expérimental, animation, etc.) en respectant les contraintes imposées.

    Cette année, dix équipes participent cette année avec, comme tous les ans, une contrainte de lieu et un sujet au choix à traiter parmi quatre faits de société : le mariage pour tous, le recul de l'âge de la retraite, le harcèlement moral au travail et l'économie partagée (covoiturage, couchsurfing, etc.).

    La projection des courts-métrages en compétition aura lieu le dimanche 25 octobre à 15 heurs au Tivoli de Montargis. J'aurai l'honneur de faire partie du jury, en compagnie de Claire-Lise Gaudichon, Jean-François Szczepanek, Françoise Pastor-Strazzieri et Anne Berrou. Voir ce lien pour en savoir plus sur le jury de cette édition

    Bonne chance aux équipes sont en plein travail depuis le vendredi 23 octobre 2015, 19 heures.

    Art & Culture Montargis : 42 heures pour un Court