Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Bla Bla Blog - Page 166

  • L’expérience Jimi Hendrix en concept album

    Comment évoquer en images et en BD Jimi Hendrix ? Comment rendre sa mesure à une carrière fulgurante et à bien des égards révolutionnaire ? Car on a tendance à oublier que la carrière du guitariste et chanteur américain n’a duré que quatre années, au sein de son groupe The Jimi Hendrix Experience.

    Mattia Colombara (au scénario) et Gianluca Maconi (au dessin) proposent dans Jimi Hendrix-Requiem électrique un biopic sous forme de bande dessinée qui condense en 144 planches la vie de l’artiste né en 1942 à Détroit et mort à 27 ans après une surconsommation d’alcool et de calmants. Trop court sans doute pour développer tous les aspects de sa vie, mais suffisamment documenté pour proposer un récit qui a vocation à être "universel", comme le disent les auteurs. Les fans de Jimi Hendrix adoreront et les autres se passionneront pour la découverte ou redécouverte de celui qui est considéré comme l’un des plus grands musiciens et guitaristes du XXe siècle.

    Le lecteur replonge dans la vie brève mais passionnante d’un afro-américain, marqué par une vie familiale compliquée (il ne rencontre son père qu’à trois ans, après la démobilisation de celui-ci et la fin de la seconde guerre mondiale) et la découverte de la guitare à l’âge de quinze ans, qu’il apprend quasiment seul. Son début de carrière est chaotique : maigres cachets, petits clubs et groupes plus ou moins obscurs. Il finit par côtoyer quelques grands noms, avec plus ou moins de bonheur : Ike et Tina Turner, Little Richard ou Sam Cooke. Sa rencontre avec la mannequin Linda Keith lui permet d’approcher Chas Chandler, le bassiste des Animals, qui lui ouvre bien des portes.

    Une carrière marquée par la ségrégation et le racisme

    La suite, se sont d’autres rencontres – les Beatles, Paul McCartney et surtout Eric Clapton – mais surtout des concerts qui vont entrer dans les annales : les premières parties des concerts de Johnny Hallyday en 1966, le festival de Monterrey en 1967, Woodstock un an plus tard et l’Île de Wight l’année de sa mort, durant l’été 1970.

    Les auteurs ont choisi de s’approprier le nom du groupe du guitariste, pour proposer "un livre qui joue avec les règles de la bande dessinée comme Jimi jouait avec les structures musicales." Trois parties constituent cet album "concept", avec une introduction, un intermède (qui est aussi un hommage au 2001 : L’Odyssée de l’Espace de Kubrick) et un épilogue. Chacune des trois parties regroupe trois chapitres consacrés à des chansons de Hendrix : Woodoo Chile, Crosstown Traffic, Burning Of The Midnight Lamp, Castle Made Odf Sand, Fire, All Allong The Watchtower, Machine Gun, Hear My Train Coming et Woodoo Child (Slight Return). De ce point de vue, la lecture des notes des auteurs en toute de livre est intéressante pour comprendre leur démarche artistique. Au passage, l’ouvrage dépeint sans l’enjoliver cette période extrêmement riche, sans gommer ses travers : drogues, producteurs sans état d’âme et discrimination.

    Graphiquement, Gianluca Maconi a fait le choix du noir et blanc pour leur Jimi Hendrix-Requiem électrique. Un choix compréhensible, dans la mesure où la carrière de Hendrix a été marquée par la ségrégation et le racisme, y compris lorsque le chanteur était au sommet de sa gloire. Lors d’une interview, les auteurs lui font dire ce cruel constat : "Les blancs dansaient et s’amusaient en nous écoutant… Mais lorsque la musique s’arrêtait, on redevenait des déchets." Le message est poignant et renvoie bien entendu à une réalité toujours d’actualité. Il reste aujourd’hui son œuvre musicale exceptionnelle… et quelle guitare !

    Mattia Colombara & Gianluca Maconi, Jimi Hendrix-Requiem électrique
    éd. Graph Zeppelin, 2020, 144 p.

    https://www.facebook.com/GraphZeppelin
    https://www.jimihendrix.com/fr/biographie

    Voir aussi : "Clatpton, toujours debout"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook

  • "Rock’n’love" : extrait 3

    Alessandro débriefait le concert avec ses trois partenaires. Tout le monde avait l’air grave des soirs de rupture. Je voyais de près le chanteur et bassiste, qui brandissait une bouteille d’Évian vindicative en direction de la pianiste, une blonde aux cheveux peroxydés et à la mâchoire proéminente. Le batteur, un type corpulent à la calvitie naissante, avait pris le parti de ne pas intervenir. Il regardait le plafond avec une expression de profond ennui. La plus véhémente était l’autre guitariste du groupe, une petite brune surnommée Frankie. Je l’entendis déclarer à Alessandro qu’il devait arrêter de se la jouer, qu’il n’était pas le groupe à lui tout seul et que c’était elle qui l’avait engagé. Il lui rétorqua que c’était la dernière fois qu’il acceptait de se produire dans ces conditions. Anna et moi débarquions au mauvais moment.

    Arsène K., Rock’n’love, éd. Harlequin, coll. HQN, 2020, 237 p.
    au format numérique
    https://www.harlequin.fr/livre/13167/hqn/rock-n-love

    Voir aussi : "Mon cœur battra toujours au même rythme que le tien"
    "Rock’n’love : extrait 2"

    Photo : Wendy Wei - Pexels

    arsène k,roman,lucrèce,mes publications mes créations

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook

  • Dans les nuages

    Cloud 9 est le nouveau projet de Wolf Minor, aka Sandy Lavallart, du groupe Kwoon, et Thierry Kronental (UNDICII).

    Ce premier titre touche dans le mille. On aime ce mélange d’électro-pop mais aussi de réminiscences de sons traditionnels. La musicienne précise que ce titre a été inspiré par un voyage au cœur du pays Basque. Un vrai retour aux sources pour un morceau à la fois très contemporain et faisant le va-et-vient entre passé,présent et futur.

    Mais qu'est-ce que ce "Cloud 9" au juste ? Il faut aller à l'autre bout du monde pour le découvrir, aux Philippines plus précisméent, car ce nom est celui d'un un spot bien connu des surfeurs : "Nous nous sommes rencontrés là bas il y a 10 ans, et sommes devenus amis, nous avons voulu marquer le coup avec ce premier titre en évoquant la légèreté et l'état d'esprit aérien qui règne dans le surf. Nous sommes évidemment en pleine composition de la suite, sans stress, no pressure. Pour le moment, nous sortons ce premier morceau sans nous poser trop de questions", expliquent les deux artistes.

    Dans cet instrumental vraiment formidable, l’auditeur est invité à planer – sans substance illicite – dans des nappes mélodiques irrésistibles.

    En attendant la suite de cette belle aventure musicale…

    Wolf Minor, Cloud 9, 2020
    http://wolfminor.com
    http://www.sandylavallart.com

    Voir aussi : "Desmond Myers joue avec le feu"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook

  • Euphorie culinaire avec Jackie Chan

    Honneur cette semaine à un genre dit "mineur" : le film de kung-fu. Notre chroniqueur de L’‎Œil du frigo s'intéresse à Rumble in the Bronx, sorti en 1995, et que des producteurs français très inspirés ont tout simplement titré pour le public hexagonal : Jackie Chan dans le Bronx. Comme ça, pas de tromperie sur la marchandise. Dans cette scène, le plus populaire des acteurs hong-kongais fait du frigo un acteur central pour une scène d'action.  

    Aujourd'hui nous sommes dans le grand art martial, ou comment un frigo peut servir à distribuer des beignes.

    Jackie Chan est dans le Bronx et s'est fait des ennemis chez le revendeur de frigos. Au lieu de discuter gentiment sur le prix de ces faiseurs de froid, il en vient aux mains tout de suite. Et une distribution de pêches, de coups, de gifles, de mornifles, de pains, de taquets, de bourre-pifs, s'ensuit. A noter que dans cette scène majestueuse, le frigo est pacifiste. Il reçoit pourtant des coups, se mange une télé et un homme, et réceptionne très bien le postérieur de Jackie.

    Alors, je vous le demande : de quoi parlons-nous dans cette séquence alors que le dimanche est pluvieux, que votre frigo est vide, que la Fnac est ouverte, que votre petite amie invoque les dieux de la chamanie que c'est les soldes et que vous êtes abandonné face à vous-même sur un canapé sans teint ? On parle de cette magnifique chorégraphie autour des frigos, une danse de l'humain qui fait tout de suite naître l'espoir et le positif au fond de vous. Certes, les frigos sont vides, comme le vôtre, mais quelle belle idée de les remplir avec autre chose que des victuailles !

    Du coup, après ces quelques secondes frigoristiques, je me sens tout revigoré. Jje vais bien trouver au fond de mon frigo une dégustation fraîche et mangeable. Je sais : je vous dévoile un peu de mon intimité. Il faut dire que Jackie m'y oblige un peu : toute cette agitation autour des frigos m'a donné faim.

    Chaque frigo sait qu'un jour, on tombera sur Jackie Chan

    Il y a quelque chose de fabuleux lorsqu'on ouvre un frigo presque vide. On trouve toujours quelque chose pour grignoter un bidule... Vous me suivez ? Un vieux Saint Môret non périmé, des cornichons, un morceau de fromage inconnu à peine vieilli... En fait, tout un tas de choses qu'on a repoussé, car nous ne voulions pas les manger (même si, dans un délire schizophrénique, c'est bien nous qui remplissons le frigo)

    Aujourd'hui, c'est la revanche : chaque frigo sait qu'un jour, on tombera sur Jackie Chan et que ce jour là, on finira les restes. Eh oui ! Avant de faire les courses, il faut finir les restes et ce jour est arrivé. Alors, je vous propose un truc simple : sortez tous vos restes, mettez-les sur un plateau et prenez du pain. N'oubliez surtout pas de prendre ce qu'il y a sur la porte. Il y a bien des fois où quelques sauces périmées sauvent la vie. Installez-vous convenablement devant votre Jackie Chan préféré et dégustez vos restes sur votre canapé sans teint. Ce n'est pas bien grave si vous ratez quelques minutes du film en tartinant un Saint Môret, cornichon, ketchup... Vous récupérez l'histoire sans souci ! Soyez imaginatif, fou : honorez votre frigo ! La vie est pleine de couleur, votre estomac vous le rendra... Peut être même aurez vous l'envie de vous battre dans votre cuisine, voire de danser... Faites des photos aussi : c'est toujours utile.

    Et passez ce long moment d'euphorie culinaire en compagnie de Jackie. Faites les courses et cherchez le pied de l'arc en ciel.

    ODF

    Rumble in the Bronx (Jackie Chan dans le Bronx), film d'action de Stanley Tong
    avec Jackie Chan, Anita Mui, Françoise Yip et Marc Akerstream
    Hong-Kong et Canada,
    1995, 86 mn

    Voir aussi : "L’‎Œil du Frigo débarque sur Bla Bla Blog"
    "Rumble in the Bronx Frigo"
     

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook

  • Vendanges amères

    Le hasard est parfois bien fait : alors qu’il y a quelques jours je découvrais le podcast d’Affaires sensibles consacré à l’histoire de la plus grosse arnaque dans le monde du vin, cette semaine je tombais sur le film Sour Grapes consacré au même sujet, et qui est disponible sur Netflix.

    Le protagoniste de cette affaire s’appelle Rudy Kurniawan. Un pseudo en réalité, qui est aussi un hommage à un joueur de badminton indonésien. Notre Rudy Kurniawan vient lui aussi de ce pays, d’une famille à l’histoire compliquée pour la faire brève, et que le film de Jerry Rothwell explique dans les dernières vingt minutes de son documentaire.

    Lorsque le fringant jeune homme asiatique apparaît dans la communauté des collectionneurs de vin à partir de 2000, il se montre évasif sur sa fortune. Il se présente comme un héritier passionné de bons flacons, capable de dépenser une fortune dans des bouteilles d’exception, la plupart françaises, et dans des millésimes rarissimes : Mouton Rothschild 1945, Chambolle-Musigny 1962, Vosne-Romanée-Conti, Château Petrus 1947 ou des Clos-saint-denis millésimés de 1945 à 1971. Et sur à cause de ces derniers vins qu’il va se faire pincer.

    Omerta

    Rudy Kurniawan est doué d’une connaissance encyclopédique en œnologie et il impressionne ses nouveaux amis collectionneurs. En quelques années, il devient un personnage emblématique des salles de vente et il s’associe avec le commissaire-priseur new-yorkais John Kapon qui se charge de revendre les vins de sa collection. Non seulement Rudy Kurniawan gagne beaucoup d’argent, mais il contribue aussi à bouleverser le marché du vin et à faire grimper les prix. L’escroquerie va être dévoilée parallèlement par le milliardaire et collectionneur Bill Koch et le viticulteur bourguignon Laurent Ponsot qui s’aperçoit que certains crus… n’ont jamais existé.

    Pas la peine d’être un spécialiste du vin pour apprécier Sour Grapes (comme d’ailleurs le numéro d’Affaires sensibles). Le spectateur sera fasciné par l’histoire d’une arnaque savamment organisée qui a tellement roulé dans la farine des hommes d’affaire roublards qu’aujourd’hui encore on estime que près de 10 000 faux crus de Rudy Kurniawan sont encore en circulation dans le monde. Et personne ne semble vraiment tenir à ce qu’on les déniche.

    Une vraie omerta qui a tout de même conduit derrière les barreaux un brillant spécialiste et fraudeur en vin, sans que l’on sache complètement toutes les complicités. Le milieu des collectionneurs de vin n’a pas été le moins gêné par cette escroquerie exceptionnelle. Et dans un milieu régi par le bling-bling, le fric et les signes extérieurs de richesse, on pourrait résumer ainsi les réactions des acheteurs des vins made in Kurniawan : "Qu’importe si mon Domaine de la Romanée-Conti à 85 000 dollars la bouteille est faux, du moment que l’étiquette indique que c’est un Domaine de la Romanée-Conti…"

    Sour Grapes, documentaire américain de Jerry Rothwell, avec Laurent Ponsot, Jay McInerney, Jefery Levy, Maureen Downey et Rudy Kurniawan, 2016, 85 mn, Netflix
    https://www.netflix.com
    "Le vigneron et le faussaire", Affaires sensibles, France Inter, 2017, en podcast
    https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles

    Voir aussi : "Histoire sensible"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook

  • Desmond Myers joue avec le feu

    En sortant son single Playing with Fire, Desmond Myers donne déjà en rendez-vous pour 2021, qui marquera la date de sortie de son nouvel album.

    En attendant, le chanteur américain propose un très séduisant titre, dont la voix feutrée sert une musique alliant soul et pop, dans une orchestration minimaliste et langoureuse. La présence de Mathieu Gramoli (Corneille, Milk Coffee and Sugar, Captain Mercier, Gaël Faye) à la composition musicale est un un vrai atout.

    Le chanteur propose une balade sensuelle et à fleur de peau, au sujet d’une attirance irrésistible qui risque de brûler les ailes et de n’être finalement qu’un château de sable : "I can’t keep it to myself / I’m playing with Fire / I can’t let it bring me down… And still I hold this hopeless hope / That castles made of sand will hold."

    Desmond Myers, Playing with Fire, 2020
    https://www.desmondmyers.com
    https://www.facebook.com/desmondmyersmusic

    Voir aussi : "Plus bleu que le bleu de ses yeux"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook

  • Chez Jedi Shop, en goodies tu te fourniras

    Pour cette chronique, Bla Bla Blog a choisi de faire le focus sur une boutique pas comme les autres, qui risque bien de faire saliver tous les fans de Star Wars.

    Tee-shirts, tableaux, bagues,mugs, et bien entendu reproductions de sabres lasers pour les amateurs de cosplays : la boutique Jedi Shop propose un catalogue très riche et sans cesse en évolution. Le magasin en ligne surfe, comme son nom l’indique sur la célèbre saga créée par George Lucas, avec plus de 500 références à son actif.

    Jedi Shop a ni plus ni moins que l’ambition de devenir LA Boutique en ligne spécialisée dans les produits dérivés Star Wars. Les créateurs du magasin entendent aussi suivre les grandes tendances de la saga, en proposant par exemple des objets dédiés au "bébé Yoda", le personnage de la série à succès The Mandalorian, dont nous avions récemment parlé sur Bla Bla Blog.

    Boutique Jedi Shop
    https://jedi-shop.com

    Voir aussi : "Mando, l'autre Boba Fett"

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook

  • Patricia LM et Antoine Hommet exposent à Pont-Aven

    Cet été sera lumineux pour Patricia LM qui va exposer cette saison avec Antoine Hommet à Pont-Aven.
    On aime cette photographe pour ses œuvres à la fois sensuelles et colorées.

    Cela se passera dès maintenant et tout l’été à la Ferme de Lesmonini, à Pont-Aven.

    À ne pas manquer, si vous êtes passées à côté de l’artiste concarnoise.

    Exposition "A. Hommet / Patricia LM"
    Ferme de Lesmonini, Pont-Aven
    http://www.antoinehommet.com/galerie/pages/Expositions-Exhibitions
    Page Facebook de Patricia LM

    Voir aussi : "Galerie virtuelle de Patricia LM"

    © Patricia LM
    © Antoine Hommet

    patricia lm,antoine hommet,peinture,exposition,pont-aven,bretagne,finistère,concarneau

    Tenez-vous informés de nos derniers blablas
    en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

    Likez, partagez, twittez et instagramez les blablas de Bla Bla Blog !

    Suivez aussi Arsène K. sur Twitter et Facebook